VTT MURET

Lacroix Falgarde

  • Lacroix Falgarde 17/10/2021

    Afin d’affiner encore ma préparation qui aurait du mal à être plus fine puisqu’inexistante pour la sortie club à AINSA le WE prochain, je choisis la proposition de Julien et Fabrice d’aller s’entrainer sur le champ de bosses de Lacroix Falgarde plutôt que celle de Sylvain et Baptiste d’aller rouler à Labruguière (pas assez de D+).

    Julien passe donc prendre mon porte vélo avec mon vélo dessus ainsi que moi-même à 8h30 et nous arrivons un peu avant 9h00 sur le parking de Lacroix où nous avons la surprise de trouver un bon nombre de voitures également équipées de portes vélos avec des vélos dessus ou à proximité, ou plus loin en fonction de l’heure d’arrivée ainsi qu’un nombre à peu près équivalent de VTTistes (il y a peu être un lien).

    Nous nous disons alors que nous n’allons pas être seuls  sur le champ de bosses mais nous apercevons à quelques mètres ce qui semble être le départ d’une rando. Nous nous approchons afin de nous renseigner et une membre de l’organisation nous apprend qu’il s’agit d’une rando Ridin’Family avec  3 parcours, Familial, Sportif et Extrême. Non contente de nous renseigner, elle nous offre aussi  le café. Nous croisons d’ailleurs José (pour ceux qui le connaissent)  qui nous en dit un peu plus pendant que nous sirotons notre café.

    Fabrice finit arriver sur ces entrefaites et en profite pour repartir aussitôt parce qu’il a oublié la batterie de son vélo (un Commencal META Power TR aux suspensions bodybuildées) et que du coup il ne le trouve pas assez lourd.

    Guillaume(F) arrive à son tour (vous remarquerez que je ne fais aucun commentaire sur le manque pourtant honteux de ponctualité de certains de mes camarades) et en profite pour rester parce qu’il a pris deux vélos, son Nukeproof et son dirt.

    Les trois qui sont restés commencent donc sur le champ de bosses, par la ligne « Baby », la plus simple. Enfin simple pour Guillaume car Julien et moi sentons bien qu’il nous manque quelque chose. Ça doit être la technique… de pompage et car nous perdons rapidement  de la vitesse sur cette ligne typée pumptrack. Quelques passages améliorent un peu les choses et nous passons sur la ligne suivante avec quelques petites doubles avec tremplin et une table au milieu. Là aussi et malgré les démonstrations de Guillaume l’apprentissage est long mais nous finissons par les passer toutes. Ouf, l’honneur et sauf !

    Fabrice nous rejoins avec un décalage temporel  important qui ne l’aide pas à se mettre dans le bain.

    Sur ces entrefaites (encore, c’est le mot du jour), un papa Vttiste et son fils Vttiste également arrivent sur le champ de bosse et le plus jeune des deux par direct sur les deux lignes que nous venons de faire en se jetant gaiement sur les doubles. Certes il reste un peu court sur les doubles mais on voit déjà qu’il y a de la graine de jumper. Son père vient de nous dire qu’il n’a que 6 ans et qu’il n’a commencé qu’au mois d’août quand il se jette sur une bosse avec gros élan et tremplin en bois sur le côté du départ que nous regardions depuis un moment avec …. avec de la peur.

    Nous trouvons ça super (apparemment et d’après le papa, ce n’est pas tout à fait l’avis de la maman…) mais sommes également un peu atteints dans notre amour propre. Nous suivons donc l’exemple de la jeunesse, et effectivement ça passe tout seul… si nous avions un peu moins d’appréhension, nous ferions plein de choses….

    Et après ? Ben y’a celle d’à côté avec déco en terre et attéro plus haut…  quand faut y aller … un peu courts au début ça finit par passer. Tout ça sans la moindre chute. Voir la dernière phrase du paragraphe précédent.

    Après cette séance bosses où nous avons bien progressé (c’est simple quand on a de la marge…) nous décidons d’aller pédaler un peu dans les coteaux avec deux montées (une par la route et l’autre par le chemin qui arrive à Goyrans), avec le bord d’Ariège entre les deux, et deux descentes que je ne connaissais pas (faudra demander à Guillaume de vous expliquer). Ce tout petit tour (11 km et 240 m de D+) aura surtout été l’occasion pour Guillaume et Julien d’essayer le VTTAE de Fabrice : l’avis est unanime, c’est un très bon vélo et nos deux biclous ne tarissent pas d’éloges, surtout Julien avec la retenue habituelle que nous lui connaissons.

    Merci au prof Guillaume pour les progrès réalisés ce matin et à mes autres compagnons du jour pour leur bonne humeur habituelle (enfin, habituelle, ça dépend lequel quand même…).

  • Sortie Lacroix Falgarde 2018-8-19

    LacroixC’est avec Philippe, Olivier D, Marc, Franck et Mézigue que nous nous retrouvons à Lacroix Falgarde pour la traditionnelle sortie dominicale. On reste dans le coin avec une distance assez raisonnable pour un retour aux alentours des midi. C’est Frank qui taillera la route sur tout le parcours car il connait le mieux, et de loin, la topographie locale. On fait ça au feeling. Olivier D dit d’entrée qu’il n’a pas roulé depuis 4 mois. J’ai de la peine à le croire car il est ajuté comme un coureur du tour de France. Il dit qu’il a perdu 5kg. Ca doit être lui qui a du me les refiler. Frank qui vient aussi de reprendre le vélo, après 6 mois d’arrêt, part comme une balle a travers le sentier en bas du village. On est obligé d’attendre les derniers un peu surpris par le rythme infernal d’entrée infligé aux papattes arrières des autres simples mortels que nous sommes. Philippe nous explique qu’il lui faut un peu de temps pour se chauffer. Ouais, bien sûr. Il n’a pas mis longtemps, le diable. Sur tout le parcours, il était toujours dans le peloton de tête, quand il ne menait pas lui-même la danse. Le coquin. Ça faisait longtemps qu’on n’avait pas vu Olivier. Et ça s’entend. Il n’arrête pas de discuter, même dans les côtes. Plus on avancera dans le parcours, plus le débit diminuera un peu mais pas tant que ça. Quel coffre. On se fait plutôt des cotes en goudron et des passages en descentes sur singles bien sympa et assez ombragés. C’est mieux pour tout le monde car le thermomètre commence à monter effrontément. Un peu trop pour Marc qui commence à tirer la langue. On roule tous le capot bien ouvert depuis un bout de temps mais le paysage est agréable et on redécouvre des sentiers que nous n’avons pas emprunté depuis fort longtemps. Les cloches de l’église de Goyrans sonnent midi. Il est temps de rentrer. 41km D+887m

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