VTT MURET

Rides 2013

  • Sortie Cahors 26-12-2013

    De gauche à droite: Laurent et Cyril

    Rien de tel qu'une petite sortie VTT après quelques repas bien chargés pour décrasser tout ça...voila le RDV pris pour le 26/12 9h
    Ayant eu la bonne idée de partir en famille avec mon équipement, mon beau-frère Laurent n'aura pas su résister a la tentation de se faire une petite virée dans le secteur de Cahors... Nous voila donc partie depuis la Chartreuse ( non loin du Pont Valentré ) ce qui nous vaut d'entrée une belle montée bien humide dans la rocaille Cadurcienne avec un beau tapisson de feuilles de chêne, ce qui nous donnera donc du fil a retordre lors des 2 premiers km ( montée a pied indispensable ), nous voici enfin sur les hauteurs avec des points de vue aussi impressionnant les un que les autres et enfin un peu de plaisir malgré toujours cette pierre du lot omniprésente qui est très dangereuse par des temps hivernaux..nous nous dirigerons ensuite sans poser pieds a terre jusqu’à la base de parapente de Douelle ou nous ferons halte pour la traditionnelle photo... De là, nous quitterons la trace initialement prévue pour partir a l'aventure de sentier connus par Laurent, qui nous ramènerons a la ville de Pradines par des singles très joueurs mais malheureusement tout aussi humides et tapissés de feuilles de chêne ( gare aux glissades ). De là, rappelés a l'ordre par l'heure passant rapidement et des jambes ne s'étant pas remises de notre première montée "infernale", nous rentrerons donc par la route, ce secteur mérite d'être arpenté (autant par les parcours que par le paysage ) et cela sera a nouveau le cas lors de mon prochain passage dans la famille afin d'en faire profiter un max de monde.
    Verdict : un pauvre 17km ( dont les 6 derniers sur route ) avec 320D+
    Cyril

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  • La Rando des Levetots 22-12-2013

    Moi et kevin, dimanche matin aux aurores, enfin à 10h quand meme , petite sortie matinale dans eaunes Sortie presque miraculeuse, pas une chute , et à part un petit probleme de chaine pour kevin, rien a signaler Eaunes bien sc malgre la pluie de jeudi , on a pu reprendre la totalité du chemin bas qui a ete reouvert, c est bon ça Rencontre de 2 autres collegues qui feront un bout de chemin avec nous, on a essayé de leurs faire mal aux jambes pour leur laisser un souvenir Puis retour vers la maison vers 13h ou un petit sanglier nous accompagnera quelques metres, retour difficile pour kevin qui lui a effectivement bien mal aux jambes 3h de roulage, 805m de deniv, c etait bien

  • La Rando du Jour le plus Court 22-12-2013

    De gauche à droite: Philippe, Jean-Pierre, David et Bruno.

    Encore un superbe WE alors on en profite. David, Philippe et moi, on se retrouve aux jets d'eau à Muret à 14h pour tracer jusqu'à Labarthe ou Jean-Pierre et Bruni nous attendent. Et c'est parti pour une ballade dominicale. Au début le terrain est plutôt sec et nous filons bon train. Puis on attaque les coteaux, ça sent bon le feu de cheminée. Les feuilles en décomposition dégage une odeur mêlée de champignon et de châtaigne. Il fait un temps magnifique. Le soleil est radieux et les Pyrénées nous tendent les bras. La visibilité est telle que l'on devine la limite de l'horizon. Moment rare. C'est le pied. D'ailleurs des pieds on en aura besoin dans quelques descentes rendues bien grasses par les dernières pluies. Philippe et Jean-Pierre en feront l'amère expérience. L'avant de Philippe a dévissé et il a littéralement plongé dans l'herbe. Même punition pour Jean-Pierre qui le suivait d'un peu trop prêt. David leur rappellera la notion des distances de sécurité. Enfin pour Jean-Pierre, c'est arrêt au stand. Il a vrillé sa chaine lors de son plongeon amoureux dans la végétation environnante. Le retour bien que toujours gras, à la tombée du jour, se passera sans soucis. On a pris le grand air et fait le plein de soleil. Qu'est ce ça fait du bien.

    Laurent

    52km - 3h32 - D+=375m

    Sortie Labarthe 22-12-2013.zip

  • La Cap Noël 15-12-2013

    De gauche à droite: Hervé, Sylvain, Eric, Mézigue et Patrice.

    Bientôt les fêtes de fin d’année et avant la trêve des chocolatiers c’est le moment de mettre quelques coups de pédales. Rien de mieux que la Cap Noël. Le principe étant toujours le même, rallier Muret à Toulouse en longeant, le plus possible la Garonne. Ce dimanche après midi, nous étions 5 Biclous Sauvages à braver les frimas de cette fin d’automne. En fait de frimât, il faisait plutôt bon surtout qu’on se réchauffait assez bien sur le vélo. On est parti d’abord à 4 de Muret, pour rejoindre 40 minutes plus tard, Patrice au pont de Pinsaguel. Le groupe file bon train. On en a tous envie de cette gaufre bien chaude place du Capitole. C’est à ce moment là que Hervé de la prendre de suite sans attendre les autres. En effet sur un chemin de terre sans histoire, il décide de lui-même de se prendre une gaufre ou plutôt une crêpe, vu la façon dont il s’est allongé. Il a bloqué la roue dans une vieille ornière de tracteur, ça a dégonflée instantanément sa roue avant et il a fait un OTB. Over The Bar pour les profanes. Le matos n’avait rien mais le bonhomme était en souffrance. On s’est occupé de son vélo pour lui laisser le temps de se reprendre. Comme il est gaillard, il est remonté sur son vélo sans trop rien dire. On arrive finalement place du Cap. Le marché de Noël bat son plein et il y a foule. On ne passe pas inaperçu car on est plus ou moins déguisé en Papa Noël. Tout le monde nous sourit, ça fait plaisir. On tergiverse longtemps entre la crêpe ou la gaufre. Hervé nous ayans rassasié, on mit du temps à choisir. Et puis par défaut de gaufre, on s’est tous sur des crêpes. Sylvain bâtant le record de la plus baroque. Au menu chocolat, orange, chantilly, rien que ça. 5 minutes avant il disait, c’est trop je n’en prendrai pas. Hervé essaye bien de nous tenter avec une bière, mais il n’aura pas beaucoup de succès. C’est aussi pour nous une preuve que le gaillard s’est bien remis de sa pirouette. On commence a ce refroidir, signe qu’il reprendre le sentier du retour. C’est arrivé du coté de Lacroix Falgarde que Éric et Hervé décident de quitter le groupe pour couper au plus court. Hervé ne se sentant pas bien. On les laisse s’éloigner, un peu inquiet quand même. On jardine un peu ça et là mais le reste du chemin se passe gentiment et on arrive à Muret juste avant la nuit. Impec. Le lendemain, de retour de l'hosto, le verdict tombe pour Hervé. Une cote fêlée. Rien de grave mais c'est long et chi... On lui souhaite tous un prompt et bon rétablissement! 56km - D+=286m
    Laurent

    Cap Noel 15-12-2013.zip

  • Sortie Muret 8-12-2013

    De gauche à droite: Frank, Philippe, Olivier D, Christophe et Kévin.

    Cela fait quasiment un mois que je n'ai pas touché le vélo suite à la météo catastrophique. Ce WE, c'est décidé, on s'y remet. Lors de l'AG, on est quelques uns a vouloir en découdre. Rendez vous est pris pour dimanche matin 9h. Le jour venu, il y a un épais brouillard et surtout le thermomètre affiche -1° en ville. Mais 6 courageux Biclous Sauvages se retrouvent pour s'élancer sur les sentiers blancs de gelée. Enfin plutôt 5 au départ, parce que Frank à une panne d'oreiller mais il nous rejoindra au dessus à la table d'orientation de St Amans. Au départ le paysage est hallucinant. Un brouillard épais cache le ciel, et surtout la Garonne est toute fumante. C'est pas tous les jours que ça lui arrive. On se caille tous un peu beaucoup mais on se console en pensant à la première cote. Le sentier est super praticable et quasiment sec partout. On attaque la cote d'Estantens et effectivement arrivés en haut, on a tous même un peu chaud. Sur les coteaux le spectacle est magnifique. Le ciel est dégagé, le soleil brille, la vue est imprenable sur les Pyrénées tout enneigées. La gelée blanche fond peu à peu, et s'évapore sous formes de fumeroles. On est tous content d'être venu. Kevin aura bien quelques petits problèmes de fourche et Frank de chaine mais rien de grave. Ca nous a permis de reprendre un peu notre souffle. Au final, on aura pas fait beaucoup de km mais le plaisir était bien présent. Vivement la prochaine.
    Laurent

  • Le Vélothon 7-12-2013

    De gauche à droite: Christophe, Patrice, Hervé et Mézigue.

    C'est l'association "Vis des Quartiers Muretains" qui nous a contactée pour leur donner un coup de main pour le Vélothon. Quatre Biclous Sauvages ont répondu présent pour encadrer une ballade de 2.5 km dans les rues de Muret. Une vingtaine de participants pour participer à l'élan du Téléthon et pour joindre l'utile à l'agréable. Un moment sympa surtout que la météo était de la partie. Le petit tour s'est terminé autour d'un agréable petit gouter.

  • L'Assemblée Générale 6-12-2013

    Comme d'habitude, l'assemblée générale de VTT MURET vient clôturer la fin de l'année. 19 Biclous Sauvages étaient présents. L'ambiance est toujours sympa et décontractée surtout qu'il y a boire et à manger. On finira nos ablutions au restaurant "Quand les moules auront des dents". Service impécable car pas toujours évident de servir autant de personnes au même moment. Une bonne adresse, on reviendra.

  • Le Vert Luisant 9-11-2013

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    Une nouvelle fois, VTT MURET aura présenté 2 équipes au départ de cette course d’orientation nocturne très attendue de tous qu’est le Vert Luisant, avec Les Biclous Sauvages en équipe N°16 et les Enduristes Sauvages en équipe N°47. Nos amis Biclous s’élançant donc 31 minutes avant nous, notre objectif était simple, arriver au moins avant eux ! Les critères de classements officiels n’important peux et ayant mis la pression avec une coupe de champagne à la clé pour tout prétendant au podium, nous voilà donc lancé, comme à notre habitude, a fond de A à Z, avec Juju et Phiphi aux commandes pour les road books et Eric ( Labrador ), Laurent L. (invité Cadurcien) et moi-même au comptage. Sous de belles averses soutenues par des belles bourrasques de vent, le parcours aura été assez joueur avec 2 petits ravito ou prendrons a peine 30 secondes d’arrêts pour jouer le chrono et nous aura permis (sans casse matériel ou autre plouf dans une mare) de rouler de manière assez soutenu avec des dérailleurs bien encrassés sur la fin… l’arrivée se faisant par la grande descente faite dans le sens inverse lors du départ de l’an dernier, le meilleur aura donc été gardé pour la fin. Résultat : 25,7km / 187 D+ / 1h49 de roulage /et chrono final en 1h58 pour les enduristes. Les Biclous boucleront cette petite sortie humide en 2h22 avec le Road Book B et finirons 15ième sur 112 du classement général. Et Nous finirons donc bien sur notre podium avec une 2ième place du Road-Book A et 3ième/112 du classement général. Voici les Temps : http://vtt.cornebarrieu.free.fr/fichiers/page_vert_luisant/temps_2013.html
    Encore une très belle édition du Vert Luisant qui aura tenu ses promesse (Pluie ou froid, voir les 2). Merci a vous VTT Cornebarrieu et a très bientôt sur les sentiers.
    Cyril

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  • La Calvetout 20-10-2013

    wp-002367.jpgDe gauche à droite: Olivier M, Roger Calvet, Sylvain, Kévin, Mézigue, Frank et David.

    Un petit troupeau de Biclous Sauvages s’étaient donné rendez vous sur les berges du lac de Saint Ferréol pour la Calvatout. C’est une randonnée initiée par le tôlier du coin Roger Calvet. 75 ans et presque toutes ses dents. Bien fringuant le bougre car c’est lui qui reconnait les parcours mais pas que. Le Papy Tout Terrain débroussaille aussi les parcours. Dis qu’est ce tu bois Doudou dis donc pour avoir une forme pareille? Il me tarde de voir ça. Sur la route en venant, avant que le soleil ne se lève, la Montagne Noire était pilonnée par des éclairs incessants. Et le ciel était tellement noir et sombre qu’une éclaircie à l’ouest a pu nous faire croire, un instant, que le soleil, ce matin, se lèverai à l’ouest. Pas trop de bonne augure, d’autant que les essuies glaces battent la chamade. Finalement arrivés sur le lieu des réjouissances, le ciel se dégage peu à peu et quelques rayons de soleil nous réchauffent le cœur. On se regroupe pour faire une photo avec Roger Calvet. Mais Philippe est déjà parti. Tout le groupe s’engage sur le 45km. Au début ce n’est vraiment pas la joie. Le sol est détremper et on attaque de portions avec un peu de dénivelé. La terre, très amoureuse dans le coin, se colle aux pneus. D’autant que l’on est tous encore en pneu été. Il faudra s’arrêter a plusieurs reprises pour débourrer tout ça. Mais le moral est bon.  A ce petit jeu ce sont les pneus de Frank qui vont le lâcher. A force de frotter, le flanc de son pneu s’est percé, occasionnant une crevaison difficilement réparable. En bon bricoleur, il répare et rentre par la route. Pour lui c’est fini, il restera à coté du manège carré. Petit à petit le parcours est de plus sec. D’ailleurs on se régale car il est très varié. Pas mal de traces avec des devers et quelques racines humides. Ce n’est pas mon fort. Mais le parcours en vraiment très agréable, on alterne avec tout ce peu nous promettre le coin. Les ravitos sont copieux et il fait chaud. Je reconnais par moment des passages que j’ai emprunté la semaine dernière lors de la rando des Cammazes. En arrivant je ne vois que Sylvain, Frank et Olivier. On se demande où peuvent bien être Kévin, David et Philippe. Le balisage s’emblait impeccable sauf à un endroit où quelqu’un de mal intentionné l’avait bidouillé. David arrivera prés d’une heure plus tard, en expliquant qu’il avait fait 10 bornes de plus et qu’heureusement un local lui avait indiqué le chemin pour finir la boucle. Le problème est que le parcours des Cammazes n’est pas encore complètement débalisé et que les deux randos utilisent les mêmes couleurs pour la signalisation. Il suffit qu’on rate une signalisation à une intersection et on se retrouve sur un autre parcours. Gros problème en perspective. D’ailleurs Kévin et Phillippe en feront une amère expérience avec 75km au compteur car ils ont fini sans eau et sans nourriture. Ca fait un peu léger. On aurai aimé un petit mot d’excuse de l’organisation mais il ne viendra pas. Dommage. A 10 euros la participation, on s’attendait tous à mieux.

    la-calvetout-20-oct-2013.png45km - D+=1100m - 4h15

    Laurent

  • Roc d'Azur 2013 selon David

    roc-d-azur-2.jpgL’évènement à ne pas manquer, d’abord par ce que c’était le 30eme anniversaire ensuite c’est quand même la plus grosse concentration de Vététiste aux monde et pour bien faire c’est sur mes terre ;) Je suis donc partie à Fréjus pour en profiter un max, j’étais sur place du jeudi 10 au dimanche 13, j’ai pu faire le salon en long en large et en travers admiré toutes les nouveautés, discuté avec les professionnels et rencontré nos Champions Mr. Absalon, Mr. Barel, Mr. Gracia, Mr. Barelli et Mle Bresset. Je fus rejoins par une équipe de joyeux luron qui arriva le jeudi aprèm, il y avait Sylvain B, Olivier D, Franck, Christophe, Kevin et 2 potes a lui. Je voulais aussi profiter d’un maximum d’évènement, le premier fut le Roc ruelle de Fréjus le vendredi soir, une course en relai sur plusieurs manches dans les rues piétonnes avec des participants qui n’ont pas froid aux yeux. Le deuxième fut la Maxima Roc down à Sainte-Maxime le samedi matin, une course de descente préparé par notre grand champion national Mr. Gracia. Alors si vous voulez voir du show et des gars qui n’ont peur de rien c’est l’évènement à ne pas manquer, ils sont franchement fou, ils déboulent dans des pentes a au moins 25%, font des sauts d’environs 4m de haut et d’une dizaine de mètre de long, bien sûr avec une telle prise de risque les chutes sont présentent et sont impressionnantes aussi. Le troisième fut le Roc ruelle de Roquebrune sur Argens le samedi soir, même style que le roc ruelle de Fréjus mais en plus difficile techniquement et physiquement un vrai régal pour les yeux et quelle santé ils ont ces gars-là. Entre temps j’ai pu admirer des animations comme le freestyl’air Trial et le BMX contest avec des participants qui essais de réalisés des figures très spectaculaires et sur des modules très impressionnants, ces gars savent faire le show. Et puis il y a eu mes courses, un terme que je n’aime pas trop mais dans ce contexte ou le temps de chaque épreuve donne un classement cela est inévitable. La première a été le Roc Odyssey le vendredi après-midi, une rando que j’ai voulu faire d’abord pour m’amuser, testé le terrain et puis pour garder du rythme dans les jambes avant l’évènement majeur du dimanche. Une rando qui réunira 636 participants sur 35 km pour 950 D+. Je mettrai 2h37m36s pour terminer 15e au classement général et 4e sur 221 dans ma catégorie. La deuxième épreuve fut le Roc d’Azur, un évènement auquel je n’ai jamais participé et que je devais faire au moins une fois. Comme pour le Roc Powerade de l’année dernière l’excitation au départ de la course est intense, voir autant de participant et autant de monde nous encouragé cela est très impressionnant. Puis le départ est donné, je suis avec Kevin dans la 7e vagues l’avant dernière, il y a eu déjà 3000 participants de lâchés, il y a tellement de monde que l’organisation est obligé de décalé notre départ d’1/2h pour éviter les embouteillages mais malheureusement ce ne sera pas le cas. Les 5 premiers kilomètres sont sur du plat mi-chemin/mi route le rythme est rapide trop rapide et le cardio frôle les 190 pulses mais il y a de la place donc je me faufile pour grappiller quelques places mais surtout en me disant que les plus rapides étant devant je ne devrais pas être gêné dans les prochaines difficultés et pouvoir envoyé un Max dans les descentes. Malheureusement peine perdu devant moins il n’y a pas que les meilleurs contrairement à ce que je croyais, il y a aussi des personnes plus lentes et pour la plus part suffisamment intelligentes pour ce décaler et te laissé passer et pour d’autre ce n’est pas le cas, mise à pied sur le moindre obstacle autant en monté quand descente. Pour récupérer du temps je me donnerai dans les intervalles, doublerai dans les montées sur voie large et descendrai en hors-piste, j’irai même jusqu’à m’arrêter que 2 fois sur le nombre de ravito prévu, peine perdu l’objectif de 4h ne sera pas atteint, je suis déçu j’ai beaucoup de regret j’en veux a tout le monde et puis au bout de quelques heures après que la tension soit retombé que l’esprit ce soit remis en place on accepte, on se dit que les retardataires n’y sont pour rien, que le Roc est pour tous que le Roc est ouvert à tous que l’esprit du Roc est de nous réunir a tous nous Vététistes amateur. On nous avait annoncé 5400 participants, j’en retrouverai 4077 sur la liste des résultats. Cette rando se déroula sur 56km pour 1800D+, je mettrai 4h16m26s pour terminer 1604e au général et 542e sur 1489 dans ma catégorie. En conclusion, je reviendrai pour faire mieux ;)
    David

  • La Rando des Cammazes 13-10-2013

    7h. Il fait nuit. Direction Les Cammazes. Peu à peu le soleil irradie le ciel bleu. Très bon présage, on va se régaler. Mais à la sortie de la voiture, force est de constater que ça pique sévère. Le départ est à 8h30, il faut trouver un moyen pour se réchauffer en attendant. 8h20, je n’y tiens plus, je m’engage sur le parcours. Au début tout ce passe bien mais rapidement j’ai mal au bide. Le petit déjeuner a envie de prendre un autre chemin que d’habitude. J’ai du partir un peu trop vite, je ralenti mais rien ni fait. En plus on emprunte des portions de voies romaines en montant, et sans le gniac c’est la galère. Je fais le dos rond et j’attends que ça passe. Le chemin continu par un passage a gué dans une rivière plutot rafraichissante. Jusqu'à la fin de la rando, j'aurai les pieds gelés. Puis on s'engoufrera dans une buse d'évacuation plutot basse de plafond. Ils sont funs à l'organisation les gars des Cammazes. Arrive enfin un peu de descendant. Ca va mieux mais je reste prudent car je suis venu seul. La descente sur le village de Durfort est vraiment super. De la terre et des cailloux dans les sous bois. Ensuite on se tapera la montée jusqu’à l’oppidum de Berniquaut. Puis nous irons jusqu’aux ruines de la chapelle Saint Jammes avec un superbe hêtre multi-centenaire sur le coté. A partir de là nous n’enchainerons sur des pistes forestières jusqu’au lac des Cammazes. Rien de très réjouissant. A l’arrivée je m’aperçois que l’on a bien fait les 1200m de D+ annoncé mais le plus dur s’est fait sur les 25 premiers km. Ravitos copieux et excellent sandoc à l’arrivée. Pas besoin de crème solaire, tout le parcours se fait à l’ombre. 46km – D+=1200m – 4h

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    La Rando des Cammazes 13-10-2013.zip

    Laurent

  • Roc d'Azur 2013 selon Sylvain

    Comme vous le savez sans doute cette année 6 Biclous (Christophe, David, Frank, Kevin, Olivier D & Sylvain) se sont rendu à la grande messe annuelle du VTT soit le Roc d'Azur, mais que diantre sommes nous allé faire là bas? Il est vrai que c'est loin et onéreux mais c'est le grand barnum du VTT et un jour ou l'autre on se sent attirer par cette lumière, par cette ambiance qui fait que tu ne vis, ne penses que vélo pendant 3 jours enfin bref tu en oublies tout le reste pour ne partager que ta passion. C'est la deuxième année que je vais au Roc et la magie a encore opérée même si tout n'est pas rose. Vous imaginez bien que se lancer sur des parcours ou il y a entre 2000 et 5000 participants n'est pas sans inconvénients surtout si comme nous vous partez en queue de peloton. A la première difficulté technique c'est le bouchon plus au moins consistant et vous ne serrez jamais seul ne serait-ce que quelques minutes. Mais pour moi cela est secondaire et fait partie du jeu qu'il vaut mieux accepter avec philosophie sous peine de connaitre quelques pointes d'énervements. En compensation les parcours sont très sympas dans un cadre superbe, la mer est toujours cachée dans un coin du paysage, à vous de la retrouver. Cette année lancé sur le Marathon j'ai pleinement apprécié le parcours dans ce massif des Maures qui se prête parfaitement à notre sport préféré. Le Parcours fût exigeant mais sans être pénible et suffisamment technique pour pouvoir se faire plaisir. Mais le Roc ce n'est pas que des courses au rando de masse c'est aussi un show permanent et entre toutes les spectacles offerts et le salon des exposants le temps file à la vitesse grand V. Pour moi cette année fut surtout l'occasion d'aller voir des pratiques que je connais peu soit de la DH et quelques fous volants dont je me demande encore comment ils arrivent à faire ce qu'il font. Même s'il est vrai que l'on s'est tous dit que c'est la dernière fois que l'on nous y prendra on a tous amassé des souvenirs qui nous ferons sans doute replonger une autre fois. Pour l'anecdote: Christophe, Olivier et moi avons fait le marathon (84 KMs et 2400m de D+) entre 07h35 et 07h45 soit environ 06h45 de roulage. Kevin et David on fait le Roc d'Azur (56km et 1800 m de D+) entre 3h57 et 4h16. Pour info on a partagés l'appart avec 2 amis de Kevin, deux avions de chasse dont les perfos sont sans commune mesure avec nous. Ils turbinent au Mac Donald c'est sans doute là le secret de la performance, demain promis je m'y mets enfin peut etre.
    Sylvain

  • Raid du Lys 29-9-2013

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    A écouter trop la météo on reste au bistrot ou au dodo. C'est ce qui a failli m'arriver ce week end. Voulant aller à Lézignan avec Frank nous avons finalement renoncés par peur de la pluie et nous nous sommes repliés sur la rando de Saint Lys. Ce ne fut pas le mauvais choix car en me levant ce matin, pas de pluie et un ciel plutôt agréable. A 8h30 à Saint lys je retrouve Frank mais aussi Christophe qui lui, se lance dans le raid soit 55 km de VTT + 6 de course à pied. Eric et Fifi sont également présent mais sur le 35 km. 9h, tout le monde s'élance et je pars sur un petit rythme mais très vite j'accérele pour éviter le bouchon. Je passe les quelques goulets du départ sans encombre ni besoin de poser le pied et ma voila lancé sur un rythme assez soutenu sachant que le parcours présente peu de difficultés. J'en profite pour tester la forme à 15 jours du Roc. Au premier ravito je retrouve Christophe mais nous ferons que quelques centaines de mètres ensemble car sur un petit raidillon il se loupe alors que j'enchaîne et il ne me récupérera pas. Sur la deuxième partie du parcours j'envoie tout ce que je peux sans arrière pensée et cela se passe plutôt bien, pas une crampe ni de baisse d'énergie. Le moteur tourne pas mal en ce moment et cela sans avoir trop besoin de chauffe. A l'arrivée Frank est là à siroter une puis deux bières, lui a aussi a envoyé tout ce qu'il pouvait et semble assez satisfait. fifi et Eric sont également présent et semblent content de leur parcours. On attendra Christophe en vain et nous lèverons le camp sans l'apercevoir. Il me téléphonera pour ne dire que sa chaîne à cassée à 3 bornes de l'arrivée. Ceci expliquant son retard. Pour le coup il ne fera pas la course à pied. Pour info Frank et le Chef ont cassés leur chaîne à l'entraînement de vendredi dernier ou j'ai également réussi à me prendre une pelle à la con sans gravité certes mais mon orgueil lui en a pris un coup. Pour revenir à saint lys: Au final 54 km pour 1000 m de D+ en un peu plus de 3h soit à 18 de moyenne.
    Sylvain

  • Rand'Eaunes 22-9-2013

    wp-002294.jpgC’est la Rand’Eaunes. Normal, c’est l’automne. Au départ de nombreux Biclous Sauvages se sont donnés rendez vous. Ou pas. Certains sont à la bourre, d’autre déjà sur le pied de guerre sur la ligne de départ. Il y en a même qui sont venu avec leur vélo de route. Si, si. Comme d’habitude le bordel organisé. Mais en grand. C’est là que les Biclous Sauvages sont les meilleurs d’ailleurs. On arrive à faire une petite photo de groupe avant le départ. Le circuit est très roulant d’entrée. Ca permet de lisser le peloton. Il y a eu une modif de dernière minute, nous ne passerons pas vers l’Aouach en longeant la Garonne. Dommage c’est un de mes passages préférés. Par contre on utilisera le fameux chemin terriblement grimpant en forme de goulet en dessous de Saint Amans et la non moins terrible « cote de la mort » juste à l’entrée d’Estantens. A elles seules, elles auront brisé plus d’un esprit vaillant. Peut après le ravito au château du Ribonnet, je suis consterné de voir 2 puis 3 emballages de bidule au pouvoir soit disant dopant jeté à même le sol. Comment encore de nos jours, peut on se dire vététiste et balancer ces emballages plastique merdiques dans la nature! Bourricots! Bon enfin vient le passage dans la forêt d’Eaunes. L’organisation a su en tiré quelques singles sympa malgré les nombreux défigurants travaux de bucheronnage. On arrive tous au compte gouttes à l’abbaye. La météo était de la partie, l’ambiance était sympa. Allez, on reviendra. Laurent

  • LARZAC BREBIS TOUR 15-9-2013

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    Chers Biclous, je vais vous conter l'histoire du Larzac Brebis tour, attention à ne pas confondre avec le tour du Larzac à brebis qui est autre histoire. Quand je vais sur le plateau du Larzac je trouve qu'il y a une atmosphère spéciale. Le pays est austère, rocailleux, partiellement aride, balayé par les vents mais j'y ressens une humanité et une histoire profonde un sens de la vie unique et intemporel. Pour vivre là il faut s'accrocher comme le bernic à son rocher et cela m'inspire le respect. Vous l'aurez compris ce pays me correspond et me plaît alors y aller pour faire du VTT ne pouvait que me combler. Voulant profiter de la région j'y suis donc parti pour tout le week end avec ma famille, 4 autres biclous se décidèrent également à participer à cette randonnée (David, Kevin, Olivier D & Philippe). Arrivé en début d'après midi au "Le Caylar" j'ai profité de l'après midi pour aller voir le cirque de Navacelles, curiosité géologique vraiment superbe, un plaisir des yeux. Une sorte de grand canyon a l'échelle 1/10 mais en calcaire. Pendant ce temps Kevin et David en caravane et Olivier et Philippe en camping car arrivèrent à "Le Caylar" notre lieu de villégiature pour la nuit. Nous nous retrouvâmes donc tous samedi soir pour boire un café près de la caravane de Kevin, son nouveau logis pour les sorties VTT. Un bon moment de convivialité, la météo étant fort agréable nous n'avons pas eu d'inquiétude pour le lendemain sauf que nous sommes sur le Larzac. Rendez vous est donné pour le lendemain, départ des 82 kms à 07h00 , philippe choisissant lui le 62 kms. A mon réveil je vois bien, de la fenêtre du gîtes, que la route est humide mais je n'ai pas encore bien cerné la situation. C'est une fois dans la rue, en cuissard, que je comprends que le temps a bien changé par rapport à la veille. Il bruine mais surtout on se gèle, à peine 10° plus le vent, j'ai l'impression d'être passé directement en hiver. Le choc est rude et le moral prend une bonne claque. Ayant rejoint les biclous l'ambiance à également bien changée et est devenue morose. On en vient à se poser la question de notre participation mais on a pas fait tout ce chemin pour renoncer aussi facilement. 07h15 cas y est on est parti et si les premiers kilomètres sont difficiles on se réchauffera dans les premiers raidillons et le plaisir d'être à vélo sera plus fort. Même si le soleil ne fit que de très rare apparition, que le vent froid et puissant nous ralenti cela ne gâcha pas la journée car le parcours fut tout simplement extra. Il est vrai que le premier quart de l'épreuve fut plutôt roulant mais très vite ensuite on retrouva du single varié et quelques descentes qui me procuréres des sourires de satisfaction, pendant in instant j'ai même cru que j'étais devenu bon, que je plaçais la roue ou je voulais enfin bref que j'avais la maîtrise. Suivant Olivier de près j'entends un bruit sec et je vois sa selle qui vole, ça sent pas bon. Effectivement son attache de selle est cassée net et c'est avec des colliers colson généreusement fournit par David, que nous tenterons une réparation de fortune du genre grosse bidouille. au ravito je tente de faire mieux en vain et c'est sur une selle toute branlante d'olivier fera toute la rando, je pense qu'il va lui falloir quelques jours pour effacer l'irritation provoquée par une selle mal réglée. Si on doit tirer un enseignement de cette mésaventure c'est de prendre des colliers colson avec soi c'est pas lourd et cela peut rendre service. Plus on avancera dans la rando et plus la forme sera au rendez vous, sur la fin j'avais une patate comme rarement et je fini la rando plein ballon dans une sorte d'euphorie et de bien être que j'aimerais connaître plus souvent. C'est pour ces instants rares mais intenses que j'aime autant le vélo. AU bilan du week end, 85 kms 2400 kms de D+ en 07h05 de roulage et le moral au beau fixe pour plusieurs jours.
    Sylvain

  • Forum des associations 8-9-2013

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    C’est la rentrée et comme chaque année c’est la période du forum des associations de Muret. Toute la journée de dimanche un flot ininterrompu de visiteurs s’est engouffré dans la salle Alizé. L’occasion était toute trouvée pour nous de se rencontrer ailleurs que sur les sentiers. Beaucoup de Biclous Sauvages sont venus sur le stand prêter main forte. On a beaucoup discuté bien sûr et devinez quoi ?...De vélo bien sûr. Mais pas que. C’était un peu aussi le moment pour nous de faire le point sur la mi-saison et sur les projets à venir. Mais de rencontrer aussi les autres associations qui se rapprochent de prés ou de loin à notre activité et à son environnement. De tisser des nouveaux liens et d’en renforcer d’autres. Beaucoup de visiteurs cette année. Et nombreux sont venus se renseigner sur notre stand. Il faut dire que cette année on avait mis le paquet. Le matin Sylvain avait amené son vélo. Et l’après midi c’était celui de David qui attirait tous les regards. Un bon cru cette édition 2013 avec beaucoup de contacts. Il va falloir patienter un peu pour avoir une visibilité sur la qualité du retour. Un grand MERCI à tous les Biclous Sauvages pour leur aide. Et à l’année prochaine !
    Laurent

  • La Transpyrénées Comminges 1-9-2013

    3eme année consécutive que je fais la Transpyrénées Comminges et cette année je dirai qu'il y a eu du bon et du moins bon. Du coté bon, La météo parfaite, le fait que le parcours soit assez diffèrent des autres années avec des montées plutôt roulantes et des descentes en single rapides ou techniques. Il y avait de quoi vraiment s'éclater au sens propre comme figuré d'ailleurs. J'ai bien apprécié également les passages en terrasse (ou corniche) légèrement en devers, chaud devant. La région magnifique qui se prête vraiment au VTT. Du coté moins bon le prix de l'inscription à 13+3€ (3€= coût supplémentaire pour inscription sur place) ce qui commence à peser, de plus il me fut impossible de m'inscrire sur internet car le site buggait donc passage à 16€ direct. Je l'ai fait remarqué lors de l'inscription, mais apparemment il s'en foutait. Petit café au départ mais pas la moindre trace de gâteau. Ravito OK mais sans plus. A 16€ on est en droit d'attendre un peu mieux. Balisage du parcours OK sauf sur la fin ou il y a eu un cafouillage et on s'est retrouvé à plusieurs hors circuit sans vraiment comprendre d'où venait l'erreur. Finalement on a pris une route pour retrouver un peu par hasard le parcours. N'étant pas très en forme David et moi avons un peu ramer sur la fin ou j'ai même réussit à avoir des crampes sans doute un virus transmis par notre chef vénèré. Quand à Olivier qui fit le même parcours que nous, nous ne le vîmes guére car il était bien plus véloce que nous. Au final 62 km pour 1900 mde D+ et 5h15 de roulage.
    Sylvain

  • Sortie MURET 25-8-2013

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    On s'était donner rdv avec Kevin ce dimanche matin radieux, comme le nouveau bike de Kevin d'ailleurs. Tout carbone, c'est beau. Au bout de quelques coups de pédales, c'est qui qu'on aperçoit au détour d'un virage. C'est Philippe qui se joint a nous a l'arrache. On attaque en longeant la Garonne jusqu'à l'Aouach. On crapahute jusqu'à la foret d'Eaunes. Le terrain est super sec et il fait super bon. C'est un vrai bonheur. Kevin essaiera bien de nous faire péter la gueule en nous embarquant sur un sentier avec une bonne marche qui finie sur un devers bien marqué. Normalement ça passe. D'ailleurs il y a des traces. On s'est tous fait dessus. Ce sera pour la prochaine fois, promis. D'ailleurs Kevin a des problèmes avec son serrage de selle . Et ce petit soucis le contraindra a écourter sa ballade. Il nous quitte donc prématurément. Quand à Philippe et moi, on se finira proprement avec par une belle série de singles. Les cloches de l'église de Muret retentissent. Il est tant de rentrer.

    Laurent

  • Sortie Bouconne 11-8-2013

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    Fifi à l'étirement.

    C'est la veille, lors d'un repas un peu arrosé de rosé, que j'arrive a convaincre Fifi d'aller faire un tour de bicle le lendemain matin. Il se fait un peu tirer l'oreille mais il se décide enfin pour venir. Il me dit que ça fait quelques temps qu'il a repris la selle mais qu'il n'est pas vraiment encore prêt. Je lui réponds que ce n'est pas grave, c'est juste le moyen de passer un peu de temps ensemble pour se balader. Rendez vous est pris pour le dimanche matin à 9h30 à Bouconne. On se retrouve donc à la base de loisirs et on part sur le 36km. Je lui prête mon nouveau vélo. Il ne manque pas de me faire remarquer qu'il n'est pas très propre. Mais quand j'enfourche le siens, je m'aperçois que propreté n'est pas synonyme de fonctionnalité. Enfin les roues tournent, c'est déjà ça. Il y a très longtemps que je n'ai pas trainer mes frusques à Bouconne, je suis un peu inquiet de la tournure qu'a du prendre le sentier suite aux pluies diluviennes de notre dernier hiver qui dura jusqu'à l'été. Et en effet je ne suis pas déçu. Les premiers passages sont toujours aussi boueux qu'en hiver. Il va falloir un automne bien sec pour assécher ces marécages. On file grand train, pour une reprise je trouve Fifi bien en forme. Surtout qu'hier il a Buzet et abusé. Si vous voyez ce que je veux dire. C'est quand on est a découvert des frondaisons que l'on s'aperçoit que le soleil tape un peu fort. Dans les sous-bois c'est un régal. Surtout qu'on file toujours assez vite. A part quelques cotes, Fifi est toujours devant. Finalement à l'arrivée, on lira un bon 29km/h de moy sur le compteur. Sacré Fifi, il cache bien son jeu. Et il fini par me cracher le morceau que durant les vacances, il allait peaufiner sa préparation dans les Pyrénées espagnoles et qu'il serait fin prêt pour la deuxième partie de la saison. Message reçu 5/5. Attention Fifi La Roquette est de retour...
    Laurent

  • Sortie bike park des Monts d'Olmes 4-8-2013

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    Dimanche c'était donc sortie bike park. Christophe le chef et moi-même ont répondu présent. Comme discuté avec Laurent j’avais comme projet de faire quelques descentes sur le bike park des Monts D'Olmes et vers midi de basculer (en vélo) de l'autre coté de la vallée par le col de Cadéne pour aller sur Ax et éventuellement tester une ou 2 descentes du bike park d'Ax. Sur la carte c’est une belle idée sur le terrain c’est autre chose. Première erreur car je pensais qu’un bike park se composait d’une succession de pistes plutôt facile type promenade abordable par plus grand nombre, enfin quelques chose de facile et ludique type parc d'attraction. En fait c'est tout le contraire, c'est un truc de descendeur plutôt technique et engagée. Arrivée avec nos vélos types X country ou all mountain au milieu des vélos de descentes on a fait sensation. Le type des forfaits, vu notre équipement, nous conseille de rester sur le parcours bleu et celui à l'arrivée du télésiège nous trouve bien peu protéger pour attaquer les descentes. Apres ces mise en garde c’est prudent et méfiant que nous attaquâmes le seule bleu du park. Départ sur un chemin peu pentu mais plein de caillasse, et là c'est déjà dur, la roue avant se dérobe et part dans tous les sens, nous peinons tous à maintenir le cap, ensuite arrive un single parsemé de caillasse, de marches (hauteur encore raisonnable) de virages plus ou moins serrés, et de pontons en bois à franchir. Dès les premiers mètres il nous fait être concentrés pour ne pas aller à la faute. Arrivé en bas j'ai les muscles tétanisé de mettre crispé sur le vélo, je ne m'attendais pas a aussi intense pour du "bleu". Il est clair que si on veut en profiter et se décontracter un peu il va falloir être un peu mieux protégé. Ni une ni deux on part tous se louer les protections soit des protèges tibias + genoux mais surtout une espèce de carapace qui protège les épaules les coudes le thorax et la colonne. Ainsi équipé on se sent quant même moins vulnérable mais attention cela n'a en rien changé notre technique de crosseur plus habitué à essayer de grimper que de faire des sauts en descente. La deuxième descente nous permettra de se décrisper un peu et de reprendre confiance si bien que nous voila parti sur une piste rouge et là le niveau monte pas mal, la hauteur des marches commencent à être conséquente (nous on les passe à l'ancienne, soit au ralenti le cul sur la roue arrière mais normalement elles sont faites pour être sauter), les pentes sont plus raides et les virages encore plus serrés. La première partie se passe pas trop mal mais Laurent et moi même coinçons sur un passage pentu avec une dalle en rocher suivi d'un virage serré, seul Christophe le franchira sur le vélo. Ensuite on se débrouillera tant bien que mal dans les enchaînements de dalles et de marches. Sur cette piste rouge, j'atteins clairement mes limites, plus dur je ne sais pas faire sans prendre des risques inconsidérés. Midi arrive et on se décide de prendre une piste pour monter les 100 m de dénivelée qui nous sépare du col et aller voir ce qu'il y a de l'autre côté et si éventuellement la bascule est possible. La montée qui nous paraissait raisonnable d’en bas s'avère être plus compliquée que prévue car gaver de cailloux et c'est les vélos sur le dos que nous arriverons au col. Du col la vue sur les Pyrénées Ariégeoise est magnifique. Mais de là apparaît aussi ma deuxième erreur car on aperçoit effectivement le chemin qu'il aurait fallu emprunter pour basculer sur Ax et là franchement ce n’était pas gagner. Un petit single de randonnée tout en dévers dans une pente bien raide. Toute sortie de route est définitive. Portage obligatoire sur quasi un km et encore on ne voyait pas la suite. On verra ça une autre fois enfin sans doute jamais.Au début de l'après midi Christophe, motivé par la prestation de quelques bikers performant, se sent pousser des ailes et pense pouvoir sauter les marches et engager un peu plus. Il part donc en premier en lâchant les freins mais sans doute un peu trop car dans le passage "chaud" le voila parti à la faute avec un joli OTB (over the bar) à la clef. L'atterrissage se fera sans trop de dégât physique (merci les protections) mais sa roue avant a moins appréciée et est pliée en huit. On s’y mettra à deux pour tenter de la remettre un peu droite, on arrivera à ce qu'elle tourne dans la fourche sans toucher mais on ne fera pas mieux. Apres quelques tentatives plus au moins infructueuses de bricolage mécanique Christophe repartira avec sa roue tordue .Suite de l'après midi avec enchaînement des pistes rouges notamment une fort sympathique dans les bois donc moins caillouteuse et plus ludique mais très raide quand même. Dans l'après midi je serai plus relax, je prendrai même pas mal de plaisir à enchaîner des virages relevés à bonne vitesse (enfin tout est relatif car en comparaison des ‘bons’ j'était au ralenti). Un type m’a doublé dans une descente, là ou c’était le plus raide, il était au moins trois fois plus rapide que moi et en plus il à profiter d’une bosse pour faire un saut de plusieurs mètres, impressionnant.On ferra quelques portion de pistes noires du moins celles qui nous semblaient plus accessible, seul Christophe tentera l’intégralité de la piste noire non sans quelques difficultés et une petite pelle mais quand on aime on ne compte pas. A 17h00 j'ai mon compte d'émotion et de fatigue et je décide de m'arrêter, une crevaison arrêtera également Laurent seul Christophe s'en ferra une petite dernière pour user le forfait au maxi. Au final Une belle journée forte en émotion dont on se souviendra, un très bon exercice technique à refaire mais avec modération.
    Sylvain

  • La Rando de Grazac 28-7-2013

    C'est par une petite matinée d'été que nous nous retrouvâmes Eric V, Olivier D et Mézigue à Grazac pour la fête locale qui se conclue par une rando VTT. Les derniers jours ont été caniculaires et aux premiers coups de pédales on a presque froid. C'est un régal. On apprendra un peu plus qu'il a plu toute la nuit. Mais dés la fin de la première descente, on va très vite s'en apercevoir. En effet quelques passages bien gadouille sont là pour nous accueillir. Ca tombe bien, on commençait a avoir un peu chaud. A présent on a les pieds complètements mouillés. Mais c'est pas du tout désagréable. On arpente la campagne environnante en direction de Villemur sur Tarn. Eric V a bifurqué sur le 35km et nous continuons sur le 55km qui n'en fera que 47km au final. Au passage on traverse des zones ombragées en bord de rivière bien sympathique. Le sentier joueur et un peu technique est transformé par la boue en un joli toboggan pette gueule. Mais "ça passe" comme ne cessera de me répéter Olivier D. Ca passe, ca passe, oui mais pas partout quand même. Les ravitos sont copieusement rempli avec des bons produits. Le balisage a tout le temps été nickel sauf au détour d'un chemin, on nous avons continuez tout droit alors que le chemin a droite était signalé mais beaucoup trop loin de l'intersection. Le circuit était complètement différent de celui de l'année dernière. Pas mal de route quand même, mais le coin est très agréable. Tout comme à l'arrivée, un repas complet nous sera servi par le comite des fête du village. Alors ça bravo! L'ambiance et les bénévoles sympathiques contribuent au sentiment d'un événement de qualité pour un prix modique. Et ça part les temps qui courent, ça compte aussi. On reviendra, c'est sur.
    Laurent

  • Sortie MURET 21-7-2013

    C'est pour profiter de ces quelques jours de sécheresse qu'avec Sylvain, on a décidé d'aller rouler sur les bords de notre Garonne adorée. Le weekend dernier, on n'était malheureusement pas dispo pour la rando de Noé alors, avec une vielle trace gps on est parti un peu a l'aveuglette sur les sentiers. Tantôt suivant les quelques balisages restant, tantôt notre gps. Je ne sais pas combien il faisait le weekend dernier, mais notre thermomètre affiche un bon 30°C. Alors forcement sur les bosses abritées du vent, on frise la surchauffe. C'est un plaisir toujours renouvelé d'arpenté la campagne environnante avec l'odeur des foins et des champs de blé fraichement coupés. Au final on fera 41km avec 822m de D+ en 3h de roulage. Sylvain en fera une dizaine de plus pour rentrer chez lui.
    Laurent

  • Pique nique VTT MURET 7-7-2013

    Comme chaque année le début du mois de Juillet est marqué par le pique nique des Biclous Sauvages. L'idée est simple, c'est le principe de l'auberge espagnole. Chacun amène de quoi se sustenter et s'hydrater, on met tout sur la table et on partage. Cette année, la date fut un peu tardive et il y eu bon nombre de défection. Seuls cinq Biclous Sauvages ont répondu a l'appel. Bon avec les compagnes et les enfants on était douze. C'est alors que Philippe s'est proposé pour nous accueillir chez lui, vu le nombre des protagonistes. C'est dans son jardin à la flore exubérante et omniprésente que sa famille nous a tous accueilli. Heureusement que la futaie de certain arbre était présente, car une chaleur caniculaire s'abattait sur nous. Tout c'est très bien. Sylvain a eu forte affaire avec sa cote de bœuf mais il s'en sorti avec brio. Maitrisant a chaque instant la température de la cuisson sur le barbecue. Les boissons rafraichissantes nous on bien servi même si sur la fin on était un peu sec. D'autre part heureusement que la femme de Philippe, Marise, avait eu les yeux un peu gros en ce concerne sa salade de fruits salvatrice car le reste des Biclous avaient fait l'impasse. Merci Marise! Et de manière générale un grand MERCI à la famille de Philippe qui nous si bien accueilli chaleureusement. Oui de la chaleur on en eu. Seul bémol, c'est votre serviteur qui n'a même pensé a faire une photo tellement il était bien. Et en plus il fait un compte rendu trois plombes plus tard. C'est plus ce que c'était. Promis je ne recommencerai plus. Enfin jusqu'à la prochaine fois. Je me joins aux Biclous Sauvages pour vous souhaiter à tous de très bonnes vacances plus ou moins studieuse pour certains et à bientôt pour la rentrée avec le forum des association de Muret le dimanche 8 septembre.
    Laurent

  • L’Orsalher 14-7-2013

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    Connaissant la beauté de cette région et ayant raté les deux premières éditions, je me suis rendu dimanche matin à SEIX pour m'inscrire au 30 km (800 m de dénivelé) - Au programme il y en a pour tous les goûts ou plutôt toutes les jambes !! - 18, 30, 40, 50 et 60 km - Donc pour moi ce sera le 30 km... vu mon niveau de forme je me suis dit que cela été suffisant. Le départ était libre à partir de 8h30. Le temps magnifique était de la partie et les orages de la veille au soir ont quelque peu arrosé le terrain (il n'y avait donc pas de poussière !!! juste un peu de boue dans la première partie autour de Oust - après le terrain était parfait). Le parcours est vraiment magnifique, sur la première grosse cote qui nous amène vers Sentenac je rencontre un couple en tandem super sympa avec qui je ferai toute la rando... avec un bonus de 10 km puisque au moment de la bifurcation 30/40 km il nous en restait sous la pédale. Bien évidemment ces 10 km en plus on fait naître en mois des douleurs un peu aigu que j'appellerai "crampe". Mais peu importe la boucle supplémentaire était magnifique, a noter une bonne pelle en descente heureusement il y a eu un arbre pour m'arrêter (merci le casque). Au final 40 km et 1000 m de dénivelé, des pistes et des singles variés, de belles montées, de super descentes, vraiment une super rando et une belle rencontre en tandem. Bravo à l'organisation pour la logistique (le café au départ, 3 ravitos, le repas à l'arrivée et la photo !!!), le parcours magnifique et surtout pour la bonne humeur de tous - Merci. A tous les biclous il faut cocher la date de la 4ième édition en 2014 (en général le premier dimanche de juillet) Bonne vacances à tous !
    Eric V

  • Rando Lagrace-Dieu 30-6-2013

    Petite rando sympathique des environs,du moins c'est ce que tout le monde croyait on se retrouve aux inscription avec ChrisWind ,6€,et c'est parti. Le prealable de Chris rentré tot des le depart ça monte et plutot raide en guise d'echauffement on a vu mieux mais bon on double un paquet de randonneurs et petit a petit "l'horizon" se degage. Pourtant tres vite de mon coté un truc cloche,l'anniversaire de mon frere ,la veille au soir,en plus du manque de sommeil ,n'est pas vraiment correctement digeré,et des la premiere longue montée (km 8) c'est le drame,remonté rapide de differentes substances plus ou moins identifiés et hop "raoul" au bord de la piste je dis a Chris de ne pas m'attendre car a partir de la et jusqu'au ravito 1 (km 17) je ferais toutes les montées un peu pentu a pied ou a tres faible rythme, je suis sans force,vide. Enfin j'arrive a ce ravito et surprise Chris est la depuis 1mn env . Je mange pates de fruits ,orange,banane ,coca esperant me refaire une santé. On repart et de suite ça va mieux (ouf) je lache Chris dans la 2 montées, bifurcation 36/50, hop direction 50 et je roulerais seul ou au gré des gars que je rattraperais jusqu'a l'arrivée 15mns avant Chris. La j'ai beaucoup parlé de moi et pas du parcours. C'est vraiment une rando meconnue, personnelement je trouve cette edition 2013 tres reussie. C'est une succession de singles et de "coup de cul" tres pentu qui est extrement compliquer a gerer. Au niveau du tracé je trouve que ça vaut le Trace du Sanglier, les paysages en moins mais je dirais que du fait du terrain c'est plus difficile. D'ailleurs tres peu de monde sur le 50, une moyenne de 13km/h au final, de la boue sur 2km seulement (chevaux la veille) un debroussaillage enorme de la part de l'organisation et, malgré une situation geographique proche de tlse, peu de monde au depart. Dommage,mais si on peu la refaire en off je suis partant,c'est le genre de rando qui casse bien les pattes malgré un deniv de 1250m ,pas plus. Voilou.

    Frank

  • L'Azasienne 30-6-2013

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    L’Azassienne à normalement pignon sur rue dans le calendrier des rando VTT en Haute-Garonne. Mais, pour cause de pluie (ha bon ?) l’édition 2013 à été décalé en Juin cette année et agrémentée d’une partie course à pied, « pour voir » comme me diront les organisateurs. Je me devais donc d’aller tâter cette rando de 7 km de Trail, suivie de 20 km de VTT et finissant par 2 km de Trail. 3 km avant d’arrivée à la Salle des Fêtes d’Azas, la pluie mouille le pare-brise. Me suis-je rendue dans la seule partie sous la pluie de la Haute-Garonne ? Heureusement, à l’inscription, celle-ci s’arrête et je maintiens le programme initial de la pré-inscription. Ce Duathlon fait tomber les barrières entre les clubs : entre les maillots des VTTistes (ROQUETTES, LAVAUR, …) et ceux des clubs d’Athlé (BLAGNAC, BALMA), on trouvera ceux des clubs de triathlon (absaventure.fr). Bref un beau mélange, moi j’aime bien et c’est la grande force de cette rando. J’adore le départ aussi :
    -« Vous voulez y aller ? » dit l’organisateur
    - « OUI » dit la foule
    -« Ben allez-y ! »
    Et c’est parti d’abord pour le Trail ou l’on se perdra un peu et ou nous ferons 2 km en plus en côte; bon, rien de grave et pas de difficulté particulière, à part un peu vers la fin, la remontée vers le village d’AZAS. Au BikeParc, on enfourche les VTT et c’est parti pour les vallons de cette région, les hautes herbes dans certains passages. Je double dans les montées les participants qui me doubleront dans les descentes (comme d’hab… !). Un passage joueur dans un bois (plus simple qu’Eaunes !) puis on arrive à un passage entre deux lacs ; enfin, les deux lacs c’est sur la carte car sur le terrain, il n’y en a qu’un mais le passage doit se faire dans une espèce de bouillasse de 50 cm de hauteur qui a du être un chemin du temps de la jeunesse de Mathusalem. Si j’avais du préserver la propreté de mon VTT jusqu’à présent, en 3 secondes là c’est mort et je sais que l’après-midi sera consacrée au nettoyage. Evidement, cela ne passe pas en pédalant et c’est dans 50 cm de bouillasse que l’on passe à pied pour remonter vers le ravito. La deuxième partie sera comme la première, le soleil en plus et même la chaleur qui arrive très vite. Du coup, on se dit qu’heureusement il n’a pas fait trop chaud jusqu’à présent sur la rando car sinon on aurait souffert ! Je double en monté (moins vite) des participants qui me repasserons dans les descentes (un peu moins vite aussi). Mon GPS me lâche (Low batt) et j’ai un coup de barre mais je vois arriver des Traileurs donc le BikeParc n’est pas très loin. Je finis les 2 derniers km puis je profite des grillades offertes (très bien cela) et de quelques goodies donnés par le conseil Général et E.LECLERC (c’est toujours sympa). Bref, un Duathlon sympa, familial, mais avec une organisation quasi-pro qui tient la route : nombreux signaleurs en quad, ravito ok, grillades, pré-inscription internet pour éviter l’attente, Parc à Vélo très bien géré, nombreux choix de courses VTT-Duathlon-Rando à pied ou Trail, y compris pour les ados… Seul point noir à améliorer pour la prochaine édition, c’est le passage d’un ruisseau où nous devions marcher sur 2 poteaux PTT pour passer un ruisseau à 5 ou 6 m de hauteur. Les poteaux alvéolés, disjoints, et pas situé sur le même niveau se sont avérés glissants de boue (ramené peut être par les chaussures des participants plus rapides). De plus, ces poteaux se mettent à osciller dès que l’on marche dessus et franchement, avec le vélo sur l’épaule c’est loin d’être facile. C’est sur que sans l’adrénaline, sans Dédé le signaleur affecté ici et sans l’effet groupe de la rando, jamais je ne serais passé là-dessus. Alors pour l’année prochaine, merci de mettre une main courante entre deux arbres pour au moins se tenir et tenté de prévenir les chutes.

    Patrice

  • L'Ariégeoise 29-6-2013

    photo-2.jpgQue de chose à dire de L'Ariegeoise 2013 qui nous avons bouclé avec David ce week end. La première chose c'est que l'on confirme la réputation de difficulté. J'avoue en avoir bavé comme rarement, tellement que sur la fin j'ai abandonné David à ses difficultés étant moi même en train de gérer mes propres souffrances. Mais rassurez vous on s'en est bien sorti tout les deux et j'avoue que David m'a impressionné de courage car étant moi même dans le doute quand a ma capacité de finir j'ai à un moment pensé qu'il serait repris par la voiture balai mais ce ne fut pas le cas. Pourquoi L'Ariégeoise est difficile, ce n'est pas forcêment par la distance et le dénivelé qui est tout a fait "gérable", mais par la notion de compétition c'est à dire que la pression du chrono est bien présente et pousse à être toujours à ses limites. Pour une fois je ne suis pas parti en m'en gardant sous le coude et j'ai roulé en me mettant aux limites dés le départ confiant quant à ma capacité de tenir sur la distance. David étant toujours plus rapide que moi au départ il sera devant moi sur la majeure partie du parcours, m'attendant bien sagement au sommet des cols. 8H, les fous sont lâchés, sur les 3 premiers kilomètres on se fait pas mal doubler mais on accroche un groupe de coureurs qui nous tractera à plus de 45 km/h sur les faux plats descendants avant d'attaquer les premiers cols. Sur le premier gros dénivelé je monterai à un bon rythme accompagné d'un anglais fort sympathique. Au sommet David est là et nous attaquons la descente très pentue et étroite. Dans la descente il y aura plein de crevaison + une chute mais très prudent j'échappe a tout cas et nous voila au premier ravito. De là le deuxième gros dénivelé de la journée que je ferai cette fois en grande partie avec un Australien. Arrivé a l'étang de l'Hers on bifurque vers le Col d'Agnes et la je commence à faiblir, je sens que la journée sera plus dure que prévu. Au sommet David est là et nous plongeons vers Aulus les Bains. A peine 2 coups de pédales et on remonte sur le col de Latrape. Là je coince et je suis obligé de me faire violence pour remettre la machine en marche, je me gave de barres energétique mais je passe le col bien attaqué sur le plan moral car le connais très bien la suite du parcours soit 40 kms de vallée à descendre mais aussi à remonter ce qui peut faire pas mal de dégâts. Avec David on accroche un premiers groupe puis un deuxième, la situation est favorable, je me cale en fin de groupe roulant le plus à l'abri possible pour tenter de me refaire une santé. Le rythme me convient et Je profite pour m'alimenter un maximum car je sais maintenant que je vais avoir de vrais difficultés pour la dernière montée. En pleine remontée de la vallée, alors que le groupe roule à 24km/h, David s'en extrait pour filer plein gaz. On ne le fera plus avant le ravito. Soit David est très fort et c'est super soit c'est un coup de folie passagère, connaissant David je penche pour la deuxième solution. Au Ravito je continue de me charger en energie, je prends mes gels (ce que je ne fais jamais) et je pense que c'est cela qui me sauvera de la déroute car dés les premières pentes du dernier col je sens un regain de force mais petit à petit je décline , je me fait largué par la plupart des personnes qui nous accompagnaient et mes jambes ne sont que douleurs. j'ai encore de l'énergie mais les jambes ne répondent plus aux sollicitations elles me permettent juste de rouler à une vitesse pour tenir l'équilibre. Devant je vois David qui s'arrête ce qu'il ne faut absolument pas que je fasses car sinon je ne repars plus. Je laisse David sur place et continue cahin caha jusqu'au sommet. La haut il fait froid et je suis persuadé que David ne finira pas donc je file sur l'arrivée. C'est finalement mal connaître David qui se remettra en marche et après une halte chez le médecin, qui diagnostiquera une élongation, finira au courage le parcours. J'ai vécu l'Ariegioise comme une vrai expérience car ne me mettant pas, comme à mon habitude, au rythme diesel j'ai pu constaté de la difficulté de tenir un rythme soutenu sur le long terme, y a du boulot. Au final 163kms, 3600m de D+ en 08h14 de roulage soit 19.8 de moyenne. Je ne connais pas encore le classement mais on doit être bien au fond.

    Sylvain

  • La Trace du Sanglier 23-6-2013

    Dimanche matin 06h00 me voila débout et cela sans avoir mis le réveil, eh oui je l'ai oublié mais maintenant c'est devenu un réflexe conditionné, l'appel de vélo est plus fort que le sommeil. Je regarde dehors et le temps est maussade mais pas de panique car je file ce matin vers Carcassonne, vers le soleil. Je ne peux m'empêcher de penser aux biclous qui vont rouler dans le coin, attention boue en perspective. Me voilà maintenant avec Frank sur l'autoroute et la pluie a fait son apparition, fine et fraîche tout ce que l'on aime. Nous approchons de Carcasonne et les nuages sont toujours bien présent, on m'aurait menti, mais ou est le soleil et ses rayons bienfaisants? On hésite à pousser jusque Narbonne ou Gruissan à la recherche du soleil perdu mais finalement on restera sur notre idée initiale soit Palaja et sa trace du sanglier. Sur place il fait frais et venteux mais point de pluie c'est déjà ça. Inscription sur le 60 et hop on on y va. Le parcours attaque direct par un single ou tous les parcours sont en commun c'est un peut encombré mais sans vraiment être gênant. Nous roulerons ensemble sur les 15 premiers kilomètres mais au premier Ravito Frank fait l'impasse et continue à bon rythme. Je continue seul sur un parcours assez varié entre single et chemin, de temps en temps le soleil apparaît furtivement à peine le temps d'en profiter que le voila reparti. Le chemin ne se montre jamais monotone et hésite entre sous bois et garrigue, entre terre et cailloux, entre crête et flanc de montagne. Mais surtout il est quasiment sec à 100 % et offre de la poussière comme on pensait ne plus en voir. Mon vélo en est couvert je vais la garder quelques jours en souvenir. A mi parcours je rencontre un collègue de bureau avec lequel je roulerai environ 15 kms avant que je ne le perde de vue dans une grosse montée car la fin de parcours est plus dure, les pentes sont plus fortes et plus longues et cela me convient parfaitement. J'en profite donc pour forcer l'allure. Au dernier ravito je retrouve Frank qui a eut quelques pb techniques. Nous finirons la rando ensemble et rejoindrons Olivier (Delafosse) qui était également de la partie avec une bande de pote à lui. Une belle sortie dans la poussière, a que cela fait du bien. 59Kms pour 1900m de D+ et 5h03 de roulage.
    Sylvain

  • Cap Nore 16-6-2013

    img-20130616-140627.jpgDe gauche à droite: Christophe et Sylvain.

    Nous voilà partis au aurore pour cette mythique rando.Le départ devait être à 7h30 mais finalement les chauffeurs devaient avoir une petite appréhension du Pic.Sylvain qui loge sur place trépigne d'impatience .Au départ LAURENT DENIS OLIVIER KEVIN:60km THOMAS MICHEL:40km SYLVAIN ET CHRISTOPHE:80km .8h pas le temps de prendre une photo nous sommes partis d'un coté le 20,40,80,100 et de l'autre le60.Je prends les devant laissant Sylvain avec les novices qui ont du mal à passer certain talus.Au ravito j'attends 2 minutes puis le diesel arrive.Nous roulons dorénavant ensemble bien que Sylvain joue au éclaireur.Le circuit est plaisant pas trop de monde devant nous les montées sont corsées mais faisable.Je commence à m'impatienter cela fait déjà 55km et toujours pas de Pic en vu.Une longue ascension assez dure nous emmène au ravito 4 il ne reste plus grand chose à manger pour cause le Pic se trouve à 5km et tous le monde à fait le plein d'énergie.A mi parcours je prends un stimulant qui sera pris trop tardivement car me voilà arrivé au sommet.Sylvain qui joue de la pompe à vélo ne veut pas rester trop longtemps et entamer la descente.Le plaisir va enfin commencer ,on va manger du caillou.La diversité du parcours est très plaisant:des passages à gué un peu périlleux ,des forêts de mousses ,des rivières asséchées,des passages de crêtes,passages dans le lit de rivière, des descentes vertigineuses mais quel régal les dénivelés positifs sont vites oubliés.Au détour d'une montée bien caillouteuse on croise des promeneurs assez âgés qui nous disent:<vous aimez bien en chiez>,je leur réponds:<c'est un cadeau de nos enfants pour la fête des pères>.La météo est avec nous un beau soleil avec une brise bien agréable.Les dieux des crevaisons sont plutôt avec moi ce qui me permet de suivre à distance Sylvain qui avant chaque descente astique sa pompe.L'arrivée ce fait sentir, un petit cadeau nous rappelle qu'on n'est pas venu pour rien.Une petite douche dans la rivière .ON reviendra pas pour le 100 mais pour le 80km.
    Une petite pensée pour David qui se chargera de battre l'an prochain le nouveau record de Kevin.
    Au final 85km 8h40 2750 déniv+ 5litres d'eau 1tonne de plaisir
    Christophe

  • Journée de la randonnée Sentes&Layons Gaillac-Toulza 9-6-2013

    cimg2650.jpg

    La pluie sur le muretain ne nous arrête pas ce matin et nous partons mon fils et moi pour faire le 14km. Sur place, le ciel est plus dégagé qu’à Muret et l’on voit même les Pyrénées ! On ne va pas se plaindre. Sur le carte au départ, le 14 km me semble un peu dur pour Aurélien, 8 ans et comme je n’ai pas envie de le dégouter, on part finalement pour le 7 km. Départ rapide, un passage à Gué et puis c’est la première grande montée. Bon, on le fait tranquillement et l’on finit à pied. Après le ravito (3.5 km ! et une bonne moitié de tablette au chocolat donné par l’organisation !), deuxième grande montée, glissante, collante, sous la pluie battante, avec des herbes plus hautes que lui bon je me demande un peu dans quelle galère j’ai amené le fiston. On monte tranquillement et la suite de la ballade sera une grande descente vers Gaillac-Toulza ou l’on repasse le Gué. On est mouillé, trempé et lui complètement crevé mais heureux d’arriver. Sur place, c’est les félicitations du président de Sentes&Layons et Aurélien à droit à une coupe dit « du courage » pour être le seul enfant à l’avoir fait en VTT cette course! J’en profite pour glisser 2-3 mots sur les biclous sauvages et nous discutons de son livre sur les randonnées. Il me donne même un correctif papier d’une dizaine de circuits qui me permet d’actualiser mon livre de rando! On finit la Sentes&Layons en buvant un coup à la Santé d’Léon et on rentre à la maison mouillé mais content. Vivement la prochaine sous le soleil !
    Patrice et Aurélien

  • La Caussenarde 2-6-2013

    Et 1 et 2 et 3 fois 100.
    Eh oui ce n'est pas un biclou qui s'est lancé sur les 100 kms mais 3 et tous ont atteint le centre de la cible soit 100. En ce dimanche 2 juin au matin le ciel a décidé d'être clément, le soleil en profite pour nous faire un clin d'oeil et le vent nous caresse de son souffle, les dieux du VTT (Saint Spé, saint Giant et saint Cruz) sont enfin avec nous, nous voila récompensé pour notre entraînement et nos sacrifices régiliers. Lorsque l'on franchi les premiers la ligne de départ à 08h00 du mat, on sait que la journée sera longue et de fait elle le sera. IL nous faudra presque 08h50 pour boucler les 100 bornes (104 exactement) dont 7h22 sur le vélo. Parti en première ligne on fera les 5 premiers kms aux avant postes à un rythme trop soutenu pour moi, la conséquence et que je ne sens pas bien (le cardio est trop haut et j'ai déjà mal aux jambes) et surtout je doute d'y arriver si je continue ainsi, alors je passe au plan B (comme Bagard) c'est à dire en mode Eco. Le mode eco c'est quelque chose que je sais très bien faire et qui me réussit généralement bien, c'est essayer de passer partout avec le moins d'énergie possible donc forcément la vitesse diminue. A cet instant je pense ne plus revoir mes compagnons de route (enfin de VTT) car eux semble être plus en "canne" que moi du moins en apparence. Après 23 km c'est le premier ravîto et là je suis surpris car David et Kevin n'ont attendu. Je ne traine pas trop pour ne pas les faire attendre et nous repartons ensemble mais pas pour longtemps car je suis toujours plus lent qu'eux. Kevin me fait comprendre que le mode eco c'est bien mais que si c'est pour arriver en forme au bout de 100 kms c'est un peu stupide. Exact je ne le nie pas mais mon seul but est d'y arriver et à ce stade je doute toujours car je n'ai pas encore de bonnes sensations. Après 44 kms deuxième ravito et là encore je retrouve mes compagnons qui ne n'ont pas tant distancer que cela, je sens David déjà un peu moins vaillant. On repart encore ensemble et je me fais doucement largué dans une cote mais au cinquantiéme km mes sensations reviennent intactes, magnifiques, merveilleuses je ne vais maintenant plus subir mais profiter. Je nai plus de doute je sais que ça passera alors j'accélère et je rattrape David qui est seul, Kevin ayant pris la poudre d'escampette on ne le reverra plus même pas à l'arrivée. il était déjà parti lorsque l'on est arrivé. Je sens David un peu en désarroi et dans le doute, je resterai avec lui. 67 kms et le 3ieme ravito ou nous resterons un petit moment pour reprendre des forces. On roulera ensemble un rythme satisfaisant jusqu'au 4 ieme ravito à 84 kms. Ce dernier ravito se situe juste avant la dernière grosse remontée , mon moral est au beau fixe car plus rien ne m'arrêtera, David est moins optimiste mais il s'accrochera et finira certes rincé mais heureux de l'avoir fait. Kevin avait raison j'ai fini plus en forme qu'au départ, j'en aurais fait facilement 25 kms de plus mais c'est ainsi je suis incapable de partir vite et le temps de chauffe est long mais lorsque le T° optimale est atteinte la machine peut tourner des heures sans broncher. En clair le format Marathon me convient très bien. Au final 104 kms et 2750 de D+ en 07h22 de roulage soit 14.01km/h de moyenne.
    Nous l'avons fait, We did it , Wir haben es geschafft.

    Sylvain

  • Sur les Crêtes de Conilhac 19/5/2013

    wp-001671.jpgDe gauche à droite: David, Frank, Sylvain l'ancien, Olivier, Laurent et Sylvain le jeune.

    C'est au aurore que nous nous retrouvons ce dimanche 19 Avril, Olivier et moi devant chez Laurent a 6h30, le ciel est clair et nous rêvons déjà tous d'une belle journée ensoleillé. Arrivée a Conilhac 1h30 plus tard nous retrouvons Kevin et Sylvain un jeune collègue a lui, nous nous inscrirons et aurons le temps de prendre un nouveau petit déjeuné en attendant les 2 derniers retardataire Franck et Sylvain. Nous enfourchons finalement nos bikes et démarrons cette rando, au début nous roulons sur une route légèrement grimpante pendant environ 1km50 et puis tout en continuant a grimpé nous empruntons un chemin empierré et puis passons sur un monotrace, arrivé en haut je suis avec Franck, Kevin et Sylvain ont pris les devant, je me retourne j'aperçois Sylvain B. et Olivier mais pas de Laurent. Le rythme s'accélère, normal nous sommes déjà sur les crêtes, les chemins principalement en monotraces traversent la garrigue, les bords de falaises, les sous bois, ils nous est difficile de doublé mais nous y parvenons en profitant de chaque élargissement ou en coupant dans les plantes sèches de ces terres rocailleuses, cela dégagera des odeurs fantastiques, dans les descentes je me laisse guidé par Franck qui a juste le bon rythme et qui prendra toujours la bonne trace. Arrivé au premier ravito nous retrouvons Kevin et le jeune Sylvain, nous repartons ensemble et puis Franck rencontre des potes, je continu avec Kevin et Sylvain, le rythme est bon peut être un peu rapide sur le redémarrage qui est en monté mais je m'accroche et surtout je récupère très vite (le travail sur vélo de route commence a payé), première descente un peu trop pentu pour moi, je perd du temps et me fait distancé par Kevin et Sylvain, je les rattrape plus loin et profite de leurs arrêt du a un petit problème technique pour les distancé a mon tour, nous nous retrouverons au 2e ravito. Nous mangeons un morceau rapide et voyons Franck passé, il veut profiter de notre arrêt pour prendre la fuite! pas aujourd'hui mon ami je me sans trop bien. Nous repartons toujours a bon rythme, Kevin a du mal, y a quelque chose qui veut sortir de lui :( il s'accroche, le jeune sylvain fait le yoyo, moi je maintiens mon rythme dans chaque descente je prend sa roue et enfilons les virages, passons des marches, relançons a chaque coût de cul, le circuit est un régale. Finalement nous retrouverons Franck a l'arrivée, nous pausons le pied en même temps que lui, Sylvain arrivera 15 mn plus tard, Laurent 15 mn après et Olivier 5mn après lui, il finira le parcours en trottinant a cause de la casse de sa patte de dérailleur (et oui il n'en a pas de rechange). Finalement après avoir angoissé toute la semaine a cause du temps de merde qui dur, a ce demandé ce que nous allions faire ce WE et bien nous aurons eu une bonne journée au niveau du temps même ci un nuage en nous effleurant nous crachera un peu dessus et une très bonne journée sur cette rando qui était une premier pour moi et qui a été très largement a la hauteur de tout ce que l'on m'avait dit, le circuit était pratiquement que du monotrace et quasiment sec, un profile descendant excellant pour garder de la vitesse et enchaîné les virages, les passages en sous bois etc... et des montées courtes mais qui nous obligeaient a relancé en permanence, excellent pour le cardio ;) Nous ferrons au final 40km, 900 D+ en 3hr.
    David

  • La Rando des 3 Tours 12-5-2013

    Et donc, la crainte de la pluie me rendant trop fainéant pour aller à Limoux (à priori, j'ai eu tort, il n'a pas fait trop mauvais et les parcours étaient sympa parait-il), je me suis dirigé tout seul vers Aurignac à coté de Boussens. ça tombe bien, c'est un coin ou ils ont trouvé des restes de la préhistoire donc je pensais bien y rencontrer des copains. Nonobstant toutes considérations superfétatoires, j'ai fait 45 km pour un D+ respectable de 1450 m à mon GPS pour 1100 annoncés et encore j'ai zappé les 2 derniers km étant en train d'agoniser... (à Limoux, il disait 2400 D+ et à priori c'était 1900 !!!!, je pense que j'en ai plus bavé que si j'y avais été). Superbe parcours à refaire sur le sec, en montagne russe avec des petits raidillons pas possible, des montées empierrées, des chemins à peine ouverts et des beaux panoramas. Evidemment, pas mal très beaucoup humide dans certaines zones: des trous d'eau dans la forêt avec profondeur indéterminée. J'ai donc fait comme les sangliers, je me suis immergé dans la boue suite à une ruade impromptue de mon destrier. Depuis, mes rhumatismes ont disparu. A refaire donc un samedi aprem cool ou un dimanche matin en partant tôt et vous pourrez retrouver madame pour déjeuner. J'ai la trace mais elle est aussi sur openrunner.
    Que la force soit avec vous.
    Philippe

  • Le Désert des Bardenas 4-2013

    img-1109.jpg

    C'est au matin du 1er Mai que Sylvain, sa Famille et la mienne prenons la route pour rejoindre le mythique site du désert des Bardenas dans la Navarre en Espagne. Avant de partir nous décidons que nous mangerons à San Sebastian, cette ville se trouvant en bord de mer nous avons espoir d’y trouvé un resto sympa sur la côte et dégusté quelques plats locaux. Désillusion a notre arrivé dans cette ville bétonnée de part en part, aucune possibilité de garer les voitures sous notre surveillance, nous ne trouverons aucun resto en bord de mer donc après avoir tourné environ 1hr nous reprendrons la route et mangerons sur l’autoroute. Nous arriverons à notre destination finale dans la ville de Valtierra vers 17hr, l’heure à laquelle nous avions rendez-vous pour récupérer notre maison troglodyte de 8 places, mais c’est mal connaitre l’Espagne que de croire qu’être à l’heure est de coutume. Nous découvrirons finalement cette fameuse maison faite dans des grottes taillé à la pioches par l’homme qui à l’époque n’avait que ça pour s’abriter. Une fois les affaires déchargées, les guibolles commencent déjà à nous démangés et nous décidons d’aller faire un peu de repérage en VTT. Au premier coup d’œil sur les Bardenas Reales, le décor est magnifique et a cette époque de l’année cette zone est loin d’être désertique, les agriculteurs y font poussés fruits et légumes et les éleveurs y élèves des moutons. Nous découvrons aussi les pistes balisées qui autorise véhicules, vélos et marcheurs a ne ce déplacé que sur celle-ci, il faut savoir que la réglementation touristique est très stricte au Bardenas et attention au contrevenant! Sur le retour nous en sortirons quand même un peu pour découvrir quelques singles dans la garrigue à flanc de colline entre les Bardenas et Valtierra. Le lendemain le levé ce fait à 8h15 mais là à notre grande surprise il pleut comme vache qui pisse, nous décidons donc de prolongé la nuit et nous partirons plus tard en vélo de route pour traverser les Bardenas par la NA-125. L’après-midi sera consacré au tourisme dans la région comme nous l’avions promis à nos Belles, nous irons à Tudela et Fitero. Le vendredi nous nous lèverons de nouveau à 8h15, le soleil étant présent nous enfourchons nos VTT et nous roulerons au Nord des Bardenas Blanca pour y rejoindre Embalse del ferial, un réservoir d’alimentation pour l’agriculture mais cette zone ne nous laissera pas un grand souvenir, c’est plutôt plat, les pistes large comme un 2 voies et même en y sortant il y a tellement peu de relief que cela n’est même pas amusant, mais bon nous découvrons! L’après-midi de nouveau nous ferons du tourisme, nous irons à Olite et ces alentours. Le soir de retour à l’hôtel nous rencontrons un couple qui nous racontera leurs journée et leurs découvertes dans le désert, nous regarderons leurs photos et visionnerons leurs films, le spectacle est tellement magnifique que nous demandons ou se trouve cette endroit, imaginant déjà être sur nos VTT a sillonné cette zone façonné par le temps. Malheureusement nous découvrons que cet endroit est strictement interdit, il est réservé à la protection des rapaces et des oiseaux des steppes et est fermé à tout public d’Avril à Juillet en général. Le samedi re-debout à 8h15, après un bon petit déjeuné et avec le soleil nous enfourchons nos VTT et décidons d’aller voir d’un peu plus près cette endroit interdit =), cette endroit ce trouvant au NE du polygone de tir, nous prenons donc la piste pour le contourner, là nous découvrons le fameux symbole des Bardenas le Castil de tierra, nous poursuivons notre chemin et rencontrons un local en VTT, il ne parle pas le français et nous ne parlons pas espagnol mais malgré tout nous nous comprenons et il nous fera faire du hors-piste pendant un certain temps, insuffisant pour satisfaire notre excitation d’enfin roulé et de découvrir le vrai Bardenas. De retour sur la piste, nous nous arrêtons devant un sentier avec un panneau d’interdiction, nous feintons de ne pas comprendre mais nous comprenons que nous sommes devant un des chemins d’accès de la fameuse zone strictement interdite décrite par le couple rencontré la veille, nous patientons dans l’espoir de le voir s’éloigné et là que voilions nous arrivé ! la Guardia L, les présentations faite nous sommes très bien averti dans un mélange d’espagnol de français et d’anglais que cette zone est strictement interdite et que nous devons resté sur les pistes et seulement sur les pistes, effondré de les avoir rencontrés nous reprenons nos VTT la tête basse en se disant que c’est bien dommage d’être aussi proche du site ultime et de ne pas pouvoir en profité comme pour tous ceux qui ont pu le faire et si bien d’écrit sur le net. Nous finirons notre parcours en sortant de temps en temps de la piste a l’Est et au Sud du polygone de tir pour pouvoir jouer un peu et satisfaire notre soif de VTT. L’après-midi nous irons à Pampelune, une ville vraiment sympathique avec énormément de chose à voir et le soir nous réussirons a trouvé de la place en terrasse d’un bar/restaurant attablé a des barriques en guise de table et des chaises haute pour déguster tapas et autres produits locaux. Le dimanche nous ne roulerons pas, le réveil ce fera à 10h30 ! Comme quoi nous avions bien besoin de nous reposer et nous quitterons l’hôtel à 12h30 environ. Malgré ma frustration de ne pas avoir pu découvrir tout ce que j’avais lu, je garde un bon souvenir de ces 5 jours car je ne connaissais pas la Navarre et grâce au Bardenas j’en aurais vu une partie, il est vrai aussi que tous ces interdit sont difficile a accepté mais tout cela étant pour la protection de la faune nous ne pouvons qu’accepter. Nous aurons tout de même effectué 208km dont 142 dans le désert des Bardenas. Je recommande le logement ou nous étions, c'est d'abord très original mais en plus les gérants sont très sympa, cela ce trouve donc dans la ville de Valtierra et cela s'appelle Bardenas Cuevas Rurales, les gérants sont Ruben et Dani et leurs site internet est: http://www.lasbardenas.com/alojamiento3frances.htm, saché aussi que Valtierra est a 1/2h en velo des Bardenas autant dire tout proche.
    David

  • Los Camins de la Blanqueta 12-5-2013

    Une organisation un peu à l'arrache étant donné que certain était partant pour cette sortie mais la météo nous a de nouveau joué un petit tour habituelle. Nous voici 2 à la sortie de Limoux Franck et moi même.Un départ très glacial 12 degré au thermomètre.Une envie de se réchauffer avec la bouteille qui nous a été remis avant le départ. 300 inscriptions la moitié pour le 60km que nous décidons de prendre. La météo est très venteuse mais nous nous sommes vite mis à l'abri dès notre entré dans la forêt. La première descente fût faisable contrairement à l'an dernier où il avait plu la veille.On commence à attaquer la première monté je commençais déjà à suer. Mais que faire je sentais la pression de Franck dans mon dos tempi je m'arrête pour enlever ma première paire de manchette et déjà plus de Franck.Le début du parcours est assez ludique sans trop de difficulté. Premier ravito et j'aperçois à nouveau Franck qui s'apprête à partir. Les montées ce font sans trop de difficultés car nous empruntons des chemins forestier assez large.Un vrai plaisir lorsqu'il s'agit de descendre quasi personne devant toujours à fond. Des singles à perte de vue, des nouveaux tracés on été fait pour nous on voit qu'il on un beau terrain de jeu.Me voilà tous seul personne devant ni derrière cela fait déjà 25 minutes que cela dure.Vraiment l'impression d'être en tête dans cette montée mais lorsque je me suis fait doubler comme une merde par 2 putains de 29" alors que c'était raide, cela m'a encore plus plombé mes jambes.C'est au dernier ravitaillement que je trouve les derniers rescapés de cette course interminable mes néanmoins superbe.J'ai pu terminer la rando avec des vététistes de mon niveau. Bref très peu de boue mise à part quelques tronçons sans spécialement nous gêner ,mon vélo est reparti dans le même état (propre). C'est au moment de charger les vélos que l'on aperçoit Michel qui venait de terminer le 40km.
    Distance 63.5 km 5 h 7mn 2400 dénivelé pour franck 30minutes en moins.
    Christophe

  • La Rando des Accros 5-5-2013

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    De gauche à droite: Denis, Mézigue et Eric.

    Enfin un peu de beau temps pour cette rando dominicale. Avec Denis, on se lance sur le 50km à 8h30. Le circuit est sympa et joueur dans les sous bois. On fait le choix des options "DUR" du circuit où nos 29" font merveille dans les raidillons. D'ailleurs plus tard on apprendra que nous avons eu encore plus raison de passer par là. A la sortie des sous bois on arpente la jolie campagne environnante en alternant single, chemin et route. On repasse dans quelques bosquets et on s'aperçoit qu'il a bien plu quand même dans le coin ces derniers temps. Au second ravito, on retrouve Eric, parti un peu plus tard, qui était sur le 37km. Il nous explique que les passages "FACILE" étaient en fait complètement gadouille. On repart ensemble mais les nombreux passages humides de plus en plus boueux et profonds nous sépareront. Denis fini par s'énervé et trace la route jusqu'à l'arrivée le nez dans le guidon. Moi, je retrouve mes vieilles copines, les crampes. Eric est juste derrière. C'est enfin l'arrivée sous un soleil presque de plomb, tellement on en a perdu l'habitude. Au final, un peu de thalasso ça ne fait pas de mal. Et la saucisse grillée en réconfortera plus d'un. Bref une rando sympa et accessible à tous. 51km - D+=730m - 3h10
    Laurent

  • Sortie route 28-4-2013

    Comme v-85b8.jpgconvenu, nous étions 4 sur la place de l'église au Lherm: Sylvain, Kévin, David et moi-même. Au moment du départ, Olivier M. nous fait l'agréable surprise de sa présence. Nous voilà donc à 5 avec Olivier et ses deux gants droits, David avec son nouveau vélo et ses chaussures toutes neuves, Kévin avec son mal au bide de poireau mal digéré. Il fait 5/8°C, temps couvert, mais pas de pluie. La boucle soigneusement élaborée et notée par Kévin, nous voilà en route vers Bérat, puis Labastide Clermont, Puy de Touges, Saint Lizier du Plantes jusqu'à Samatan. Déjà à Montpézat où nous avons pris la photo (un magnifique petit village), j'ai cru que j'allais crever: sa monte, sa descend. Alèse dans les descentes, mais de moins en moins évidant au fil des côtes. J'ai pris un pet au moral quant un tandem avec un couple de retraité nous a dépassé en pleine monté. En plus, quant j'ai vu direction Montblanc avant Samatan, j'ai vraiment cru qu'il voulaient me crevé. Mais non, ils ont été vraiment chouette en me stimulant pour poursuivre. Je les remercie à tous. Il y avait encore une fois un bon esprit Biclous ce dimanche. Nous avons bouclé par Sainte Foy de Peyrolière, Saint Lys puis St Clar
    et un retour au Lherm. Un boucle de 93Kms et un dénivelé de 680 mètres. Ah oui, j'ai oublié nous avions laissé Sylvain et David, vraiment en canes pour une boucle supplémentaire pour un 115Kms. Ne pensez surtout pas que Kévin n'était pas en forme, il est venu avec nous uniquement parce que les poireaux "le poussaient" à rentrer. Pas de doute, il va falloir rouler pour l'Ariégeoise...
    Jean-Pierre

  • Sortie route 21-4-2013

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    En ce dimanche du 21 avril la bande à David composé de 3 biclous (à ne pas confondre avec les 3 bandes A Didas) était bien décidée à se confronter à quelques montées pyrénéenes dont la fameuse montée du plateau de Beille. Mais avant d'attaquer ce plat de résistance quelques hors d'oeuvres étaient également au menu. Parti des Cabanes nous rejoignîmes Ax par la route principale, ce qui fut assez pénible de part le circulation intensive (route du Ricard), et de là on monta directement sur Bonascre (sans prendre le oeufs). Cette montée assez irrégulière dans les pourcentages fut cependant absorbée sans vraiment de difficulté. Arrivée à Bonacre est déjà quasi 1000m de D+ de fait. La descente sur Ax fût assez fraîche mais supportable. Dans Ax, quelques coups de pédales nous suffirent pour atteindre les premières pentes du col de le Chioula, plus régulier qui fut lui aussi passé sans trop de difficultés. Au col de la Chioula le froid est déjà un peu plus vif et commenca à être gênant. Du col impossible de rejoindre la route de corniches de part son enneigement et nous redescendrons donc par le même chemin. D'ax retour aux Cabanes par un vent de face assez désagréable et quelque peu frisquet. Petit arrêt à la voiture pour prendre des vêtements plus chaud car on préssent que la T° va baissée sérieusement lors de la montée sur le plateau. En fait elle a plus que baissée elle est devenue polaire. Au pied de la montée (16 kms) on roule un moment ensemble avant que Kevin et David me lâchent, a mi parcours je rejoints David qui commence à coincer et nous roulerons ensemble jusque la partie ayant le pourcentage le plus fort (1 km à 10%). David préfère faire une petite pause pour reprendre du courage, je continue seul jusqu'au plateau ou je retrouve Kevin qui m'attend déjà depuis un bon quart d'heure. Au bout ce 5/10 min David arrive également avec la satisfaction d'avoir réussit. Le reste du parcours n'est donc plus que de la descente ce qui aurait du être une formalité, grave erreur car un froid vif s'est installé sur le plateau (4°C) et descendre à plus de 40km.h par cette T° pose réellement un pb quand l'équipement vestimentaire n'est pas adapté. Nous ferrons au moins 3 arrêts dans la descente pour asssayer en vain de nous rechauffer surtout au niveau des doigts. C'est avec soulagement que nous arrivérent an bas ou je mettrais quasiment une heure pour ne plus ressentir les effets du froid. Au final 102kms - D+3363 - 5h44 de roulage - Vitesse moyenne 17,8km/h (19 pour Kevin). Un belle sortie dont on se souviendra.
    Sylvain

  • La Rando Vers l'Ouest 21-4-2013

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    Nous sommes partie avec Frédo de Labarthe vers 8h. Arrivée à 8h30 à La Salvetat, un peu frais avec 5°C, mais temps clément, idéal pour faire péter les guibolles. Au départ, on rencontre comme convenu Michel P. avec un ami et des copains de sa classe de 3ème B, mais aussi Eric V. avec un copain de 3ème F et juste avant de décoller Philippe R de 3ème et des poussières et plus. Nous sommes donc partis avec nos habits de lumières à la recherche d'aventure. Le parcours de 40km, sur lequel nous nous sommes engagé, était de 500 mètres de dénivelé. Idéal pour un départ de saison. Il était parfaitement sec sauf sur 700 mètres, où nous avons mis nos vélos lamentables plein de boue. Philippe R. avait dû bouffer du Viagra parce qu'il nous a mis un vent, j'en ai encore le rhume. La classe de 3ème B à pris l'option du 50Kms, nous avons continué sur le 40Kms et fini en 3h20min, pas mal pour des débutants. A l'arrivée, nous avons vu Patrice D. et appris que Olivier D, avait sévit (désolé pour le message sur le Forum un peu tardif), sinon j'aurais appelé. Bonne randonnée, pas très compliquée, mais très bien placé dans le calendrier. Frédo a regretté le 50Kms, mais on ne peut pas tout faire. Bises.
    Jean-Pierre

    Moi j'aime bien la Rando Vers l'Ouest! D'abord parce que c'est une rando de printemps et donc elle annonce plein d'autres rando à venir; D'ailleurs, je n'était pas le seul pour qui s'était la première sortie de 2013. Ensuite, avec ses boucles qui s'enchainent, elle laisse de la marge pour jauger son état de forme. On part pour faire le 70km mais on a oublié que l'hiver à mis 3 kilos en plus sur la ceinture? Pas grave, on peut se rabattre sans soucis sur le 50km ou le 40 km, ce qui fut mon cas. L'inverse est vrai aussi; s'il l'on est en forme à la bifurcation du 40, on peut aller sur le 50 km voir le 70 km. Tout cela c'est bien cool, surtout pour un début de saison ou l'on se jauge. Pratique aussi, le départ au gré du chrono. Sympa, et je crois même que cette année, certains sont partis dès 7h, prenant de cours le premier ravito! Les ravitos, d'ailleurs sont très bien. J'en ai largement profité car cela me change des ravito de CAP ou l'on a juste le temps de boire un verre d'eau et prendre un quartier d'orange! Là, je me suis même longuement arrété sur le premier et fait le gourmand sur le nutella! Une fois n'est pas coutume! Autre point positif pour moi, elle n'est qu'à 15 bornes de la maison donc cette année j'y suis allé en VTT pour une sortie totale de 70 km, c'est toujours sympa de pouvoir faire cela! Alors c'est vrai que le parcours en lui même ne présente pas de difficultés et très peu de singles. J'apprécie quand même de longer la déviation (un de mes ancien chantier!) et aussi le sentier sur la canalisation de Gaz TIGF ( ça m'amuse !) sans oublié le ruisseau de Starguet qui d'ailleurs ne "passait" pas ce dimanche (trop de boue en sortie de ruisseau). Amusant aussi, le radar pédago qui m'a flashé à 46 km, j'essaierais de faire plus l'année prochaine! L'ensemble du parcours est très "sécurisant" y compris dans les descentes les plus rapides. J'ai bien cru que je ne salirais que très peu le VTT mais finalement on a eu droit à 2 passages particulièrement corsé ou l'on a joué les bulldozers "ramasse-boue". Un petit ruisseau en fin de chemin permet de nettoyer "le plus gros". Mon seul regret, je n'ai vu qu'un biclous (Olivier) qui était sur le 50 km et qui m'a rattrapé en fin de rando. Dommage pour moi, car j'ai vu au retour Fred et Jean Phi qui m'ont dit qu'il y avait en tout 8 biclous sur le 40km. Encore bravo aux organisateurs pour le nombres de circuits disponibles : 20 - 25 - 40 - 50 - 70 km. L'année prochaine, pourquoi pas le ... 20 km avec mon fils!
    Patrice

  • Roc Trespousien 14-4-2013

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    Ce dimanche le soleil tant attendu fut effectivement au rendez vous, chaud et agréable à souhait, ah que ça fait du bien de retrouver un copain depuis longtemps disparu. Ce premier week end vraiment primtanier à reveiller les ardeurs de pas mal de VTTiste puisque la rando de Trespoux a fait le plein (200 inscrits de plus que l'année derniére, on aimerait avoir une telle progression pour le challenge) et les biclous etaient d'ailleurs plus nombreux que l'année derniére. C'est donc 7 biclous qui se presentérent bien motivé pour torcher le 69 kms. On a failli être 8 mais sans dénoncer personne il y a des "léves tard" dans le groupe, tant pis pour eux. Dés notre arrivée sur place on sent la foule des grands jours, ca se bouscule presque aux inscriptions. 08h30 nous voila parti et pour une fois je dois l'avouer sur un rythme plutôt "cool, je ne suis pas obligé de forcer pour suivre, serait-ce la distance prévue 69 kms qui incite à la prudence? A peine 10 kms de pracouru et Christophe créve une premiere fois et le jeune homme et à poil, juste une veille chambre de dispo dont il ne connait pas vraiment l'etat. On s'arrête tous pour aider l'innocent afin qu'il continue . Eh bien ce qui devait arriver arriva puisque sa vieille chambre ne tint pas 3 kms et il fallu s'arrêter à nouveau pour regonfler et espérer un miracle qui evidemment ne vint pas. le groupe se scinde, David, Frank et Kevin partent devant, Olivier et moi même restons avec Christophe pour surveiller avec anxiété la roue capricieuse. Philippe etant parti devant, personne ne le revit avant l'arrivée. On parvint tant bien que mal au premier ravito et là on a passé plus de 30 min à essayer de réparer une des chambres et c'est de guerre lasse qu'Olivier lui à donner une chambe neuve, la seule à sa dispo. nous voila donc reparti et plus aucun moyen de réparer une crevaison. Vu le temps perdu on s'exite un petit peu et dans notre précipitation on loupe, sans s'en rendre compte, l'enbranchement 69 kms pour filer directement sur le 46 kms. Au deuxieme ravito on croise juste le premier groupe qui lui c'etait bien engagé sur le grand parcours mais qui abbrégea suite à un manque d'eau. Je reparts convaincu d'être sur le bon chemin pour faire les 69 kms car m'etant préservé jusque là je me sentait vraiment bien et prêt à bouffer du denivellé et du kilometre. Lorsque je comprends notre erreur cela me mît dans une rogne incroyable et je fini la rando en envoyant toute la patate qui me restait. Quand à Christophe il creva une deuxieme fois à quelques kilometres de l'arrivée et fini comme il pu entre pédalage et regonfage. une leçon à mediter et à retenir pour la prochaine fois. Dicton du jour par la preuve: Venir à poil (sans outil) avec un vélo dont l'etat est incertain sur une telle randonnée peut ammener à des galeres et serieusement gâcher le plaisir. Que dire d'autres, si tu aimes les singles en devers, slalomé entre les arbres, relancer en permanance et franchir des monticules de cailloux alors Trespoux est fait pour toi, il faut quand même ajouter que c'est une super belle rando exigeante, touriste ( et bricolo) s'abtenir. Au final personne n'a bouclé le grand parcours 46 kms et 1250 m de D+ pour les uns et 54 kms et 1500 mde D+ pour les autres. On reviendra.
    Sylvain

  • Figabike Trophy 7-4-2013

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    C'est à Figanieres, petit village situé entre Draguignan et le camp de Canjuers que je me suis rendu ce dimanche 7 Avril avec 3 amis. Le temps était agréable et le restera toute la journée. L'accueil fut festive avec une organisation massé sur la place du village avec grande tente pour l'enregistrement et le café, estrade pour l'ambiance et les pomme pomme girls. Le départ fut d'abord donné pour le 20km puis le 30 et 40km ensemble 10 min plus tard, ceci fut une erreur car ça bouchonna très vite. Enfin nous réussissons a roulé mais le rythme restera lent car 2 de mes potes n'ayant pas roulé depuis longtemps aurons du mal à suivre, surtout que la bas les descentes sont magnifiques mais cela veut dire que les montées ne sont pas là pour te faire rires (enfin sauf pour moi hihi). Mais ce n'est pas grave je voulais me retrouvé ici pour rouler sur d'autres terres et retrouvé des potes que je n'avais pas revu depuis très longtemps. Le parcours fut vraiment super avec des chemins larges, des mono, de la terre humides et parfois gorgée d'eau mais pas collante et de très belles descentes mais parfois aussi trop chaudes pour moi avec tellement de pierres au sol que l'on ne sait pas ou mettre la roue. L'avantage de mes potes c'est qui ne se pose pas de question sur ce type de terrain. Au final nous ferons 36km en 3hr05 et 1050D+.
    David

  • La Bête Noire 30-3-2013

    wp-001467.jpgDe gauche à droite: Jean-Pierre, Eric, Philippe, Frédo, Christophe, Sylvain et vautrés sur le table Richard et Cyril.

    Cette année encore VTT MURET avait engagé deux équipes au départ de la Bête Noire, édition 2013. Il y avait bien sûr les Biclous Sauvages et les Enduristes Sauvages, respectivement N°10 et 11. Sur place, David et moi, nous arrivons les premiers et on s'affaire a tendre une bâche entre des arbres au dessus d'une table de piquenique. Petit à petit les différents belligérants arrivent au compte goutte. La tribu s'étoffe au fur et à mesure autour d'un casse croute. Tous les gars ont le sourire mais l'ambiance est nerveuse. Il faut dire que la météo prévue est mauvaise. Et en venant tout le monde s'est cogné une terrible averse sous des nuages plus sombres que la nuit. 19h, il faut aller chercher les road books. Qu'est ce que nous a prévu l'organisation cette année? On a la pression parce que cela fait trois années consécutives que les Biclous Sauvages finissent premiers de l'épreuve. D'autant plus que les organisateurs nous avaient promis un handicap pour la prochaine édition. Ca y est, on a les road books, ils ont l'air pas trop tordus pour une fois. Mais il faut percevoir 2 touillettes à café qu'il faut calibrer soit même à 110.5mm avec une lime à ongle. D'autre indices traine sur la table, des spaghettis, des sachets de sucre, des œufs en chocolats. Tout pour nous embrouiller. Les gars à l'accueil jubilent en voyant tout ce petit monde en train de se prendre la tête pour 0,1 mm sur la longueur d'une touillette avec un pied à coulisse. Ca donne l'ambiance. Et puis arrive enfin la pluie. Humide et pénétrante, bref la pluie. Tout le monde se réfugie sous notre tente de fortune et rends grâce à notre esprit d'initiative. Le glas du départ se rapproche mais la pluie et le vent ne cessent de nous assaillir. On décide de se mettre un coup de pied au fesses pour affronter les éléments et la ligne de départ. C'est à cet instant que les dieux du VTT écartent avec leurs bras musclés les nuages ténébreux et la pluie cessa brusquement. L'équipe se ressouda avant de s'engager dans l'ultime combat qu'est la Bête Noire. En effet, il nous faudra affronter pèle mêle le vent, le froid, l'humidité, le road book à la con, les questions piégeuses et les indices foireux. Le quinté+ de l'effroi et de la terreur. Sans compter les bêtes féroces et immondes qui nous attendent peut être à chaque détour de sentiers. Bref vous l'aurez compris, on est prêt pour en chier... Et ben finalement ça s'est bien passé. Mis à part le fait que Christophe a fait piscine. On a peu jardiné mais pas trop non plus. Les deux équipes sont arrivées quasiment en même temps. Il semblerait que les Biclous aient plus merdé sur la récolte des indices. Et tout le monde est contant d'être arrivé sans trop d'encombre. Le hotdog bien chaud participe de ce fait à cette bonne ambiance générale. On file vite se changer car nous sommes tous trempe de la tête aux pieds. En rentrant avec la voiture avec le chauffage à fond, je ne cesse de me rappeler notamment les nombreux passages dans les chemins transformés en ruisseaux avec de l'eau jusqu'aux genoux, où tout le monde se dit: faut pas s'arrêter, faut pas s'arrêter,... Du bonheur je vous dis!

    Laurent

  • Les 2000 de Bruniquel 24-3-2013

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    Ce n’est pas moins de 8 Biclous qui se sont retrouvés pour un départ à 6h30 du matin. Dans la joie et la bonne humeur car il faut dire que la journée commençai bien, le temps était agréable. Après avoir chargé 3 voitures nous voilà partie, environ 1h15 plus tard nous nous garions au village de Bruniquel. Déjà beaucoup de Vététistes présent et cette année le responsable du parking avait mis son gilet de sécurité ;) Un 9e Biclous nous rejoignait sur le parking et de là nous sommes partie à l'inscription. Nous avions prévu de commencé la rando vers 8hr mais finalement notre départ ce fit à 8h30 environ. D'entrée de jeu le parcours annonça ca couleur par une jolie grimpette sur un chemin encore bien humide et qui laissa a pensé que les chemins pierreux de Bruniquel allaient être bien glissant. Premier descente et premier difficulté pour moi, pentu avec des pierres roulantes, marches et 2 gamelles sans gravité et tous les Biclous qui me doublerons. Une fois la route rejoins je jouais le bon samaritain pour dépanner un gars qui avait cassé ca chaine, le même gars que nous retrouverons plus tard avec Sylvain et que nous dépannerons une fois de plus en lui donnant un morceau de chaine et oui la sienne était trop courte, comme quoi il est toujours bien de prévoir! Je roulais donc seul maintenant et je ne m'amusais que dans les montées (jamais je n'aurai pensé dire ça un jour) les descentes étant pour moi trop difficile. Une fois arrivé au 1er ravito, je rejoignis Philippe R. et Sylvain, là Sylvain m'annonça qu'il avait chuté lourdement sur son épaule gauche et qu'il ne comptait pas poursuivre sur le 65, je décidais donc de rester avec lui. Nous roulerons donc ensemble jusqu'à la fin sur le 45. A l'arrivée nous fumes d'abord rejoins par Denis qui était partie sur le 65 mais il coupa car pris de crampe, ensuite ce fut l'arrivée de Franck qui lui termina le 65 avec son tout rigide carbone mono plateau! Ensuite Thomas arriva de son 45 et puis Kevin et peu de temps après Olivier D. de leurs 65. Nous dégusterons le fameux Aligot de la rando de Bruniquel pratiquement ensemble, profiterons des bancs en pierres, et nous dorés la pilules au soleil en attendant Philippe, Olivier et Christophe. Ne les voyants pas arrivé nous décidons avec Kevin de rentrée tranquillement à nos foyers. Encore une fois et comme chaque année, la rando de Bruniquel fut bien organisée avec un parcours à la hauteur de ca réputation et en plus nous avons eu un magnifique journée.
    Pensée particulière a Sylvain qui je pense ne sais rien cassé mais qui a du retrouvé son épaule toute bleu lundi au réveil. Pas de souci non plus pour son nouveau vélo;)
    David.

  • Le Challenge des Biclous 16-3-2013

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    Le samedi 16 mars dernier s'est déroulée la toute première édition du Challenge des Biclous sur le circuit moto de Candie à Toulouse. Le challenge, organisé par VTT MURET et Les Biclous Sauvages, consistait à enchainer une série de courses différentes avec le même vélo, soit vtt ou cyclocross. Les participants se sont affranchis de 2 sessions de courses sur le circuit route, puis à nouveau 2 sessions mais sur le circuit terre et enfin un parcours dit trialisant. Chaque session durait une demi heure entrecoupée d'un quart d'heure de pause. A l'issue de la finale deux coureurs se trouvaient ex-æquo à la première place. Il a fallu les départager en ajoutant une épreuve dite de la montée impossible. Au pied d'une butte, les compétiteurs ont dû s'élancer pour tenter d'arriver le plus haut possible. A ce petit jeu, c'est Benoit TREMBLIN, dossard numéro 10, de VTT Cornebarrieu qui décrocha la victoire et emportait par conséquence le guidon d'or. Suivi donc par le guidon d'argent, Fabrice DELAHAYE, dossard numéro 5, du Vélo Club de Roquette, et en troisième position, le guidon de bronze attribué à Laurent VAUDOIT, dossard numéro 6, lui aussi du Vélo Club de Roquette. Le guidon rose de la meilleure féminine a été remporté par Alexie SOUM, dossard numéro 1, qui a finie 12ème au classement général. La compétition avait commencé à 14h30 et s'est achevée vers 19h par une tombola réservée aux coureurs avec de nombreux lots d'articles de cyclisme offert par le magasin Ontario de Portet sur Garonne. VTT MURET remercie tous les participants et les bénévoles pour leur investissement total. Les organisateurs remercient également la Mairie de Toulouse pour le prêt du circuit, ingrédient indispensable à cet événement d'un tout nouveau genre.

    Le Classement 2013.pdf Le Classement 2013.pdf

    Les Inscrits 2013.pdf Les Inscrits 2013.pdf

  • Sortie "des cols" du 10 mars 2013

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    De gauche à droite: Kévin et Sylvain.

    Si tu penses que le vélo ne se pratique qu'à coup de crampons sur des chemins de terre, de cailloux ou de boue alors arrêtes toi là.
    Si, comme moi, tu penses que le vélo est multiple et peut également se pratiquer sur l'asphalte alors tu peux continuer la lecture de ce compte rendu.
    Las des terrains gras et de passer plus de temps à nettoyer le VTT qu'a être dessus je me décidais pour une sortie route en ce dimanche printanier tout du moins par les températures annoncées. Je lançais donc l'idée d'une sortie montagne enchaînant quelques cols du coté de Saint Béat. Un Biclous + un ex Biclous décidèrent de me suivre et c'est donc à trois que nous nous lançâmes à l'assaut de quelques cols Pyrénéens.
    Parti de Fronsac nous firent quelques kilomètres de plat pour nous échauffer et joindre Saint Béat et de là attaquer le morceau le plus consistant de la journée soit le col du Menté qui bien que modeste par l'attitude atteinte offre 10 km de montée soutenue entre 8 et 9%. Au sommet, ou la neige est encore bien présente, on bascule sur l'autre versant pour faire la descente et rejoindre le deuxième col de la journée soit le col de Portet d'Aspet qui n'a que 4 kms de montée mais a des pourcentage frôlant les 14%, aie aie aie mes jambes. Ensuite descente par la même voie pour aller chercher le cols des Ares, en passant par le modeste col de Buret. Le col des Ares passe normalement sans réel problème puisqu'il à une pente moyenne de 3.5% sur 8kms mais comme je commençais a être cuit, j'avoue avoir du piocher dans les réserves pour faire bonne figure auprès de mes compagnons qui finalement étaient également dans le même état que moi, chacun attendant un signe de faiblesse de l'autre.
    C'était certes pas du VTT mais on a passé une très bonne journée dans un cadre très agréable avec des efforts à fournir qui finalement s'approchent de ceux du VTT.
    Je pense que c'est également un très bon entraînement pour les sorties VTT que nous envisageons de faire cette années (Bruniquel, Millau, Cap Nore Roc d'Azur).
    PS; j'ai pas eu besoin de laver le vélo en rentrant.
    Au final 63 kms pour un peu plus de 2000m de D+ à 18 de moyenne
    Sylvain

  • Sortie Carla Bayle 3-3-2013

    En ce beau dimanche matin c'est cinq biclous + un ancien dont le prénom commence par K fini par N avec evi au milieu (passé à l'ennemi entre temps) + un invité surprise qui se présentérent pour aller rouler dans l'Ariége entre le Carla Bayle et le Mas d'Azil. Normalement la FFC a pas mal de parcours flêché dans le coin et c'est sur le N°5 de 42 kms que nous nous engagérent guidé par Philippe muni de son Gps donc rien ne pouvait nous arriver enfin en théorie. Je ne pensais pas trouver que de la poussiére sur les chemins mais je ne m'attendais pas non plus avoir à affronter encore autant de boue. Nous n'avions pas fait 1 km que nos vélos étaient déjà bien maculé de cette bonne terre glaise bien collante. La terre glaise ne fut pas notre seul probléme car le flêchage fut également bien defaillant pour ne pas dire inexistant sur une bonne partie du parcours et bien qu'armé dun GPS on a pas mal "jardiné" pour suivre à peu prés le parcours prévu. La plupart des montées étaient pas mal pêchues et necessitaient de mettre les gaz à fond pour être montées à vélo, ce qui sollicita pas mal les organismes et au mlieu du parcours Michel, en manque de forme, préfera raccourcir son parcours. Nous parcoururent au final 47km avec 1000m de D+ en 5h40 dont 1h30 d'arrêt principalement lié à la recherche de notre chemin et c'est à plus de 14h00 que nous rejoignirent nos vehicules.
    Sylvain

  • Sortie Sigean 17/2/2013

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    De gauche à droite: Pyscho méccano et Toutencarbone.

    En l'an de grâce deux mille treize , le 17 février exactement, fuyant les chemins boueux et la gadoue du Conté du Muret, trois preux et hardis Biclous se rendirent au royaume de "Six Jeans" non pas comme on pourrait le croire pour "Trousser la gueuse méditerranéenne" mais plutôt pour fuir l'humidité qui commencait à ramolir leur vieux os. Caparaçonné de leur tenue colorées, enfourchant leurs fidéles destriers rutilants les voila s'elançant fiers, heureux et libres vers cette si belle garrigue à la recherche du single technique. Parfairement guidé par leur compagnon du cru qui connaisaait le terrain mieux que sa poche, ils taillérent le sentier sans coup frémir jusque épuisement de leur mollets. Las mais heureux ils finirent par retrouver leurs masures ou un repos bien merité les attendait. Au final 48 km, environ 1000 m de dénivelé + à un rythme soutenu dans une superbe garrigue ou les possibilités de balades semblent sans limites. Un régal à cette saison. pas la moindre trace de boue, à peine quelques flaques facilement évitables. du beau VTT comme on aime, celui qui réhauffe le coeur et qui te récompense des efforts fournis pendant les montées. Bilan: une vrai belle journée qui te regonfle le moral pour affronter une nouvelle semaine de la meilleure maniére qui soit.
    Pyscho méccano accompagné du Gendarme de Fréjus et de Toutencarbone.

  • Sortie Muret 9-2-2013

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    De gauche à droite: Olivier D, Olivier M, Philippe et David.

    Comme la semaine précédente, il a plu quasiment tout le temps. Mais il y a une petite fenêtre météo samedi après midi pour faire un tour de VTT. Alors on décide quand même de passer par le sentier le long de la Garonne. Et  finalement ça le fait bien. C'est quand on commence a arpenter la cote du champ au dessus d'Estantens que les choses se compliques. Il y a eu un éboulement de terrain et le sentier est quasiment bouché. D'autant plus que les eaux de ruissellement on commencer a l'attaquer et a creuser une crevasse qui nous permet de penser que le chemin ne va rester longtemps praticable si rien n'est fait rapidement. Le champ qui suit est super boueux mais on fait contre mauvaise fortune bon cœur. Enfin nous voila dans le bois d'Eanes. On y croise des bucherons à l'ouvrage mais heureusement ils font des coupes sélectives. Rien à voir donc avec ce qui a été fait de l'autre coté du bois. Les billots encombrent le chemin mais bon, il faut bien qu'ils bossent. On ne va pas trop rencontrer de boue et on se fait plaisir. Mais subitement une pluie froide genre grésil s'est jointe à la partie. Elle va sonner le glas des réjouissances et tout ce petit monde va rentré au bercail au plus vite.

    Laurent

  • Sortie Muret 3-2-2013

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    De gauche à droite: Frank, Christophe et Guillaume, peut être un futur Biclou Sauvage.

    C’est après plusieurs semaines d’intempéries et de pluies diluviennes que nous pouvons enfin sortir le vélo. Ouf ! Il était tant pour moi parce qu’avec la série d’événements festifs et surtout gastronomiques à répétition, j’ai pris un certains embonpoint. Juste 2 kg. Il faut dire que l'épisode des chocolats puis galettes et en enfilade des crêpes à gogo m’a été fatal. On s'est donné RDV à 9h et là ça pique un peu, mais le soleil pointe enfin quelque rayon et ça nous réchauffe pas grand chose à part le moral. On décide de partir pour faire une boucle dans le bois d’Eaunes. On évite les singles du bord de Garonne et on fait bien car vu de la route qui domine, c’est gadouille de chez gadouille. On arrive enfin sur les coteaux par le goudron. On pénètre dans le bois un inquiet de ce qu'on va y trouver. Le terrain est finalement assez sec sauf dans les portions habituelles. Il y a bien ça et là des endroits un peu gras mais rien de collant a outance. Juste quelques parties de bonne glissade mais cela nous permet de soigner notre pilotage. On rencontrera plusieurs groupes de vététistes qui comme nous se dégourdissent les gambettes arrières. Mais plus spectaculaire fut la croisé de chemins avec un troupeau de trois chevreuils. On a bien essayé de les suivre mais peine perdue, ils sont bien plus sportifs que nous. On fini par rentrer à couvert car le vent souffle de plus belle. Un petit rinçage des biclous dans la Garonne en crue s’impose à l’arrivée à Muret. Retour au bercail pour une douche et un repas bien chaud mérité.

    Environ 30km pour environ 3h

    Laurent

  • Sortie Sigean 26/1/2013

    Las de la pluie toulousaine Kevin et moi avons tenté une petite sortie bord de mer ou le temps promettait d'etre plus clement Depart 12h et comme d'hab flotte jusqu'a lezignan et au fond le ciel bleu ,yessssssssssssss En se rapprochant je choisi un depart de port la nouvelle car le vent qui souffle fort aura l'avantage de nous pousser sur le retour,10° ça va le faire Au debut piste roulante vent de face ,pour l'echauffement on a vu mieux ,en plus ça monte mais tres vite on bascule a droite vers un beau single a profil descendant Malheureusement un incendie l'an dernier a fait mourir les arbres et avec le vent violent quelques uns sont en travers mais c'est un peu passage plutot ludique Ensuite les choses se gatent un peu,env 1kms de glaise collante ,je pensais que le terrain etait plus sec,alors je modifie le parcours prevu pour aller vers une belle grimpette mais surement a cause de la glaise Kevin a du chain suck,il montera tout en danseuse grand plateau Evidemment ça dure un temps et les jambes piquent rapidement ;malgré tout le retour grace au vent se passera bien bien que je m'en mette une bonne en regardant ailleurs:ça m'apprendra Une bonne petite sortie,pas trop de kms mais la bas ils se meritent A refaire au plus vite sur un terrain plus sec.

    Frank

  • Sortie Bouconne 5-1-2013

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    De gauche à droite: Christophe, Fifi, Philippe, Sylvain, Eric, Olivier, David et Julien plus 2 cavaliers sortant de la brume.

    Samedi 5 Janvier aprés midi pas moins de 9 valeureux biclous pour aller se balader à Bouconne dans la gadoue
    Au mois de Janvier avec les Biclous
    Faudrait penser à mettre les pneus boue
    Pour patauger dans la gadoue
    La gadoue la gadoue, la gadoue
    Hou le gadoue, la gadoue
    Enfin je suis excessif car bien quil y aie eu un peu de gadoue c'etait tout à fait praticable mais on est tous revenu bien crotté quand même.
    Il y avait donc notre vénérable chef de meute "le VTT masqué" accompagné de sa meute bien hargneuse surtout au départ quoique moins prétentieuse sur la fin, soit le Gendarme de Frejus, Carbonne 14, Bretzel, Rapik's Cube, Vomitomandarino, Labrador mouillé , Olivier (un nouveau membre que je n'ai pas encore surnommé) et votre serviteur Psycho mécano. Pour un mécano j'ai bien eu la honte en commencant la rando avec frein avant chanteur (ou couineur plutôt), ce frein chantait de maniére fort bruyante la célébre chanson "Shimaaaaanooooo...." censé semble-t-il attirer la femelle XTR. Devant l'agacement perceptible de mes compagnons un changement express de plaquette coupa nette la chique au disque brailleur.
    Apres cet interméde la troupe reparti de plus belle à la recherche du moindre single à exploiter ce que nous fîmes juqu'au lac. La certain récclamérent une petite pause car leur corps leur avait parlé et demandé cet arrêt. D'autre, dont je tairais le nom parlérent également avec leur corps mais de maniére largement plus audible, ah misére que l'homme est bas quelque fois hein psycho mécano (un moment d'égarement sans doute).
    Après cette pause nous enquillérent le retour à un rythme soutenu car c'est dans une pénombre bien avancée que nous rejoiginres nos véhicules garés à Pujaudran qui par chance étaient encore tous là à nous attendre. Le véhicule est très patient c'est une de ses premiéres qualité.
    Au final environ 40 kms parcouru pour un temps d'envion 2H45
    Sylvain

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