VTT MURET

Articles de marc31600

  • Col de Liar et mont de Gez - 02/12/2018

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    Pour une fois nous ne sommes pas partis vers la grande bleue. Direction les Ht Pyrénées. La météo annoncée s'étant améliorée en fin de semaine je propose une sortie que je voulais refaire (de jolies portions de la Pyrépic 2018). Comme ces derniers temps les biclous se sont mis à apprécier les ballades en montagne ca tombe pile poil. La mise en place n’a pas été facile sans notre forum, mais au final une voiture de 4 personnes débarque à Argeles Gazost dimanche matin (Christophe, Julien, Marc et Olivier.D). Je les rejoins au centre-ville car j’étais déjà sur place depuis la veille.

    Surprise pour des MURETAINS le sol est trempé, il a plu une partie de la nuit. Christophe, confiant, nous dit que ça va sécher dans la matinée. Christophe, encore lui, a mis sa plus belle tenue : short enduro avec de super chaussettes bleues et de superbes manchettes rouges. Il  manquait juste un tee-shirt blanc. Mais comme on dit, ce n’est pas l’habit qui fait le VTTiste. Nous voilà donc tous partis sur un bon rythme pour une bonne montée de 900m D+ direction le col de Liar. Montée tranquille sur chemin et piste. Marc jamais dans le rouge tout en gestion.

    Arrivé au début de la descente de la MTR65. Le début de la descente est beaucoup trop glissant sur la zone retravaillée au printemps dernier par les personnes de la  MBF 65. Merci à eux pour leur super boulot. Dès que nous entrons sous les bois, ça glisse beaucoup moins. Marc nous montre sa facilité à survoler les obstacles. Je lui embraye le pas après réflexion sur un joli saut de plus d’1 mètre sans problème, à refaire dans l’enchaînement (voir la vidéo ici). La descente continue jusqu’à Bernicaze.

    Une petite remontée pour finir en haut du Mont GEZ, portage sur 100m D+. Là c’est le casse-croute  pour tous. Nous continuons par la fameuse descente « LA GEZ BOND » que je voulais faire découvrir à mes camarades des Biclous. Je les laisse rajouter sur les commentaires à venir leurs sensations (j’insiste, Olivier quelques mots). Marc nous a fait une démo encore sur un gros saut pour moi tout est relatif bien sûr. Respect  (+ de 1.5m d+ voir la vidéo ici). La prochaine fois peut être. La suite de la descente s’enchaine bien. On se tape une bonne rigolade sur un autre saut : l’homme aux chaussettes bleues se booste « lui » pour le passer sans encombre (voir la vidéo ici).  Bravo !

    Au village de GEZ je propose une autre variante possible et une autre descente. A l’unanimité et avec enthousiasme nous repartons pour le mont de GEZ. La descente avec beaucoup plus de caillasse assez intéressante nous ramènera jusqu’à ARGELES. Point final pour mes compagnons. De mon côté j’ai encore 250m de D+  à faire je reprends la piste et fini par la route.

    Au final  43.8kms et 1979m D+. Pour les copains d’après STRAVA 34kms et 1590m D+.

    Merci les gars pour ce bon moment passé tous ensemble. Sortie à refaire au printemps avec la possibilité de rajouter une autre belle descente du col d’Andorre. Je regarde ça de mon côté.

    Olivier

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  • Sortie Locale post Assemblée Générale 24/11/2018

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    Au vu du temps pluvieux annoncé demain dimanche sur notre belle région, j’avais profité de notre assemblée générale d’hier vendredi pour proposer à qui le souhaitait d’aller rouler en local aujourd’hui samedi. Je ne sais pas si c’est très clair, mais toujours est-il que Christian et Sylvain s’étaient portés volontaires dès hier soir.

    Attiré par le post correspondant judicieusement lancé dans la foulée sur forum, Julien a à son tour manifesté son intérêt pour cette sortie ce matin.

    Malheureusement, Christian finit par m’envoyer un message vers midi pour me dire qu’il ne sera finalement pas des nôtres pour cause d’obligation familiale.

    C’est donc un trio décidément bien habituel qui se retrouve à nouveau pour une sortie locale à 14h30 au Lycée Aragon.

    Sylvain qui arrive après Julien et moi ouvre de grands yeux en me voyant. Il faut dire qu’il ne s’attendait pas à me voir avec les protections et le casque intégral. D’aucuns diront que mon équipement était quelque peu « too much » pour rouler à Eaunes, mais bon, on n’est jamais trop prudent, même à Eaunes. C’est d’ailleurs pour ça qu’on est finalement parti sur les bords de Garonne dans l’autre sens, c'est-à-dire vers Toulouse, dans l’idée de repérer une fois de plus le début de la Cap Noël 2018.

    Descente au niveau du pont du Barry et remontée sur le quai Saint Marcet par le petit rampaillou que Julien avale les doigts dans le nez (ce qui n’est quand même pas très pratique pour tenir son guidon, reconnaissons-le) alors qu’il me faut deux essais pour y parvenir.

    Puis replongée sur le single le long de la Garonne pour n’en ressortir qu’au niveau du chemin de Ranquinat, puis route de Labarthe et à gauche en haut de la côte pour rejoindre le sentier des crêtes puis descente avec l’épingle au début pour arriver finalement à la marchounette que nous avions déjà repérée avec Julien et que nous voulions montrer à notre chef bien aimé. Voir la petite vidéo ici. C’est aussi pour ça que j’avais pris mes protections, qui n’auront fort heureusement servi à rien sauf à susciter un étonnement amusé chez les personnes que nous avons croisées et à me donner chaud à la tête.

    Nous avons ensuite poursuivi sur les bords de Garonne jusqu’à Pinsaguel, avons été voir à la pointe du confluent si l’Ariège et la Garonne se rejoignaient bien (c’est effectivement le cas) et avons fait demi tour et sommes rentrés par le même chemin au retour qu’à aller (mais pour la Cap Noël bien sûr).

    Grosse sortie avec gros dénivelé donc puisque nous avons parcouru pas moins de 32 km et gravi 300 m de D+ (et avec coudières, genouillères et casque intégral pour ma part). Le tout dans une bonne humeur et une franche camaraderie indéfectibles bien évidemment !

    Lien Relive : https://www.relive.cc/view/1982633813

  • NAJAC 21/10/2018

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    Cela faisait déjà un petit moment que notre bien aimé et vénéré président Sylvain 1er avait émis la merveilleuse idée d’aller rouler dans l’Aveyron du côté de Najac. Non seulement pré-convaincu par l’insondable sagesse de notre guide suprême mais aussi empreint d’une inextinguible curiosité pour de nouveaux horizons, je me laissai donc facilement séduire par cette proposition.

    Direction donc Verfeil dans le Tarn et Garonne… Eh oui, les routes du bonheur sont parfois tortueuses.

    Le brouillard que nous rencontrons sur la route se dissipe petit à petit au fur et à mesure que nous nous rapprochons de notre destination et nous arrivons à Verfeil sous un ciel gris mais qui ne demande qu’à laisser bientôt passer les rayons du soleil.

     Départ à 9h10 et nous entamons assez rapidement la première montée qui s’avère raide et caillouteuse, ce qui, ajouté au manque d’adhérence lié à l’humidité inhérente à ce petit matin d’octobre, nous amène à poser plusieurs fois pied à terre et à pousser le vélo. Ce genre d’épisode se renouvellera  ici et là durant la rando, humidité ou pas d’ailleurs.

    Le rando se poursuit par une alternance de quelques passages sur la route, de chemins assez larges mais aussi de pas mal singles en montée ou en en descente avec de la caillasse (sur ou sous les feuilles) et de bonnes ornières piégeuses. Il y aura quelques passages plus engagés mais rien d’infaisable même si nous poserons le pied sur une marche suivie d’une ornière qui ne nous inspirera pas confiance. Les sous-bois et les paysages sont magnifiques.

    Au milieu de la troisième montée, nous passons par Najac, très beau village, que Sylvain insistera pour visiter, se faisant soudain le porte drapeau du VTT touristico-historique (voir photos), malgré nos montures malodorantes suite au roulage dans des matières peu recommandables et la présence de nombreux touristes pédestres qui ne se formaliseront par de notre présence cycliste pour autant, comme quoi, la tolérance ça existe et c’est très bien.

    A noter une erreur de guidage (mea culpa) qui nous vaudra une montée à pied sur les flancs abrupts et glissants d’un pont ferroviaire en contre bas de Najac, alors que le chemin nous aurait permis de monter tranquillement un peu plus loin…

    Au final 45 km et 1550 de D+.

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  • Eaunes mercredi 29 août 2018

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    Y’a des sorties comme ça…

    Au départ, rien d’inhabituel, 3 biclous à savoir Laurent, Julien et ma pomme. Julien nous annonce qu’un quatrième biclou, en la personne de Pierre-Jean, retardé au taf, devrait nous rejoindre plus tard dans la forêt.

    Bon déjà au départ, Julien, qui a niqué son pneu arrière à Citou samedi dernier et regarde depuis le préventif anti crevaison suinter et faire des bulles en se demandant quand ça va s’arrêter (à moins qu’il ne trouve ça joli…) doit donner un petit coup de pompe avant de partir. Je précise que la pompe, c’est la mienne car Julien n’a pas réussi à faire rentrer la sienne dans le cadre du Spé et qu’il ne daigne pas s’encombrer d’un sac à dos.

    Nous voila donc partis sur les bords de Garonne, et c’est moi qui ouvre le bal : trop concentré sur la branche tombée que j’avais pris en plein casque vendredi dernier, je ne regarde pas où je mets ma roue avant : trou => OTB. Marc : 1 point.

    Je me relève et on repart. On monte par la Ferrane et arrivé en haut, Julien se rend à l’évidence : le préventif qui fait des bulles, c’est peut être joli, mais le pneu à plat, paradoxalement, c’est gonflant. Il va donc falloir réparer son pneu arrière. Heureusement, il a acheté des mèches chez Décathlon et ça, ça rentre dans le cadre du Spé ! On nique une première mèche… puis en s’y mettant à deux avec Laurent on finit par mettre la deuxième correctement. Le temps de tout remettre dans le cadre du Spé (en tassant avec les pieds) et de regonfler le pneu (toujours avec ma pompe), on repart. Julien : 1 point.

    On passe par la table d’orientation puis on prend à gauche à la patte d’oie. Le frein arrière de Laurent commence à faire un léger bruit métallique très joli mais malheureusement très peu prometteur quant au bon déroulé du reste de la sortie. Ce n’est pas grave, il reste stoïque (Laurent, pas son frein arrière) et on continue.  Et hop,  la première spéciale. On remonte le long des barrières en bois (qui puent toujours autant), puis je me dirige vers la barrière en haut de la forêt. Etonné d’y arriver seul, je fais machine arrière pour trouver Laurent, qui n’a pas non plus trouvé utile de s’encombrer d’un sac à dos, en train d’essayer de démonter ses plaquettes arrières avec l’outil que Julien a réussi à extirper du cadre de son Spé avec les dents. Sauf qu’ils ont pas la bonne clé… Bon je sors mes outils. Bizarrement, moi, j’ai la bonne clé. Diagnostic : un caillou quelque peu facétieux à dû venir se coincer entre le disque et une plaquette en ravageant la plaquette au passage et en pliant le ressort qui écarte les plaquettes par la même occasion, d’où le bruit métallique très joli au départ, mais il faut le reconnaître, lassant à terme. Laurent redresse le ressort (avec mes pinces…), remonte le tout et on repart. Laurent : 1 point.

    Deuxième spéciale, tout va bien ! Arrivés en bas, Pierre-Jean nous rejoint. On remonte. Troisième spéciale, tout va bien. On remonte.  Quatrième spéciale, tout va bien ! Ah bon, ben si tout va bien, c’est pas drôle, on rentre. On traverse la route Eaunes/Estantens, on remonte par le champ habituel puis à droite en haut de la Ferrane vers le chemin de Jouliou, mais en prenant la variante avec le raidard dans le bois à gauche. Arrivé en haut, on longe le champ à gauche, on passe la conduite de gaz (histoire de rappeler à Pierre-Jean qu’il est d’astreinte) et on replonge à gauche pour la variante habituelle. C’est d’abord Pierre-Jean qui profite d’un dévers mou pour s’en mettre une. Pierre-Jean : 1 point.

    Puis Laurent, jaloux certainement, exploite un autre dévers, dur cette fois, associé à une ornière pour faire bonne mesure,  pour se mettre au tas également. Laurent : 2 points.

    Le retour se passera ensuite sans encombre malgré nos efforts répétés pour faire tomber Julien, qui est le seul à ne pas s’en être pris une.

    Au final 28 km, 530 m  de D+ et 5 points distribués.

    Conclusions :

    • Si tu surveilles la branche, méfie-toi aussi du trou.
    • Quand tu crèves, c'est mieux de réparer avant de repartir.
    • Dans le cadre du Spé, on peut mettre des mèches et un outil, mais pas avec les bonnes clés.
    • C’est vrai que j’avance pas en montée mais en portant les outils pour tout le monde, faut pas s’étonner non plus.
    • Le dévers, mou ou dur, c’est traitre.
    • C’est Laurent, avec deux points, qui gagne le droit d’être sur la photo qui illustre le présent compte rendu.
    • Dimanche c’est le forum des associations à Muret : venez nombreux sur le stand des Biclous !

  • Lagrâce-Dieu dimanche 26 août 2018

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    C’est sur une proposition de Frank que pas moins de six biclous ont opté pour les singles de Lagrâce-Dieu en ce dimanche ensoleillé : Frank donc qui, j’ai le plaisir de vous l’annoncer, est de retour parmi nous, Philippe retraité en forme, OlivierD qui s’est remis à rouler après une période bricolage, Julien qui a toujours un beau vélo et qui a roulé à Citou hier, Antonio, notre célèbre  représentant ibérique et moi-même.

    Nous suivons la trace « 30 km de pèlerinage à Lagrâce-Dieu » d’Utagawa qui nous promet de nombreux singles et effectivement le début de la rando est excellent, en majorité en sous bois avec de bons rampaillous. Certes quelques arbres encombrent un peu les chemins mais finalement ça passe et le terrain n’est gras que dans des endroits très localisés.

    Deuxième partie un peu plus roulante et un peu moins fun du côté de Grazac et Mauressac et enfin retour par descente très joueuse en single sur Lagrâce-Dieu.

    Bref une sortie très sympa pas loin de Muret qui constitue une bonne alternative à Eaunes quand on besoin de rentrer tôt comme c’était le cas aujourd’hui pour quelques uns d’entre nous.

    Bon évidemment, Julien a trouvé ça moins bien que Citou, mais bon, il est jeune et il commet encore l’erreur de comparer ce qui n’est pas comparable. Ça passera avec l’âge… Il s’est consolé en essayant d’imiter Danny MacAskill comme vous pourrez le constater sur la photo ci-dessus.

    Au final 31 km et 750 m de D+.

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  • Gala de singles à gogo en bords de Garonne, Ariège et Lèze 17/08/2018

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    En cette semaine estivale, Julien et moi avions tout d'abord envisagé d'aller tester les singles de Lagrâce-Dieu mais après avoir consulté les Dieujantés, ceux-ci nous l'avaient déconseillé vues les nombreuses chutes d'arbres consécutives à l'orage de dimanche dernier.

    Nous voila donc partis ce matin sur les bords de Garonne et avec l'intention pas très affirmée de faire plus ou moins du repérage pour la Cap Noël 2018. Rien de très nouveau jusqu'à Lacroix Falgarde, si ce n'est une petite marchounette sur des rochers en bord de Garonne qu'il faudra bien se décider à descendre sur le vélo un jour ou l'autre. Lacroix Falgarde, donc, où nos ambitions de repérage ont rapidement succombé à l'appel des singles des bords d'Ariège (rive droite) jusqu'à Venerque avec un crochet par Clermont Le Fort puis retour par la rive gauche, toujours jusqu'à Lacroix Falgarde. Très sympa! Seule la transition Pins Justaret / Saubens du retour nous laissera un mauvais souvenir avec des passages totalement dénués d'intérêt au milieu des champs sur des chemins détrempés par l'arrosage des cultures.

    Au final 54 km et 620 de D+.

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