Articles de marc31600
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Alaric 16/08/2024
- Par marc31600
- Le 16/08/2024
- Dans Rides 2024
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Pour changer et afin de profiter de ce jour chômé, un appel est lancé pour aller rouler ce jeudi 15 août.
Les présents seront Marc, PJ, Michel et moi-même. Reste à trouver la destination...
Initialement, il avait été proposé d’aller rouler vers Albine ou Citou, mais la météo ensoleillée de cet été 2024 nous a fait changer d’avis.
Après une analyse minutieuse des millimètres d’eau tombés la veille, nous changeons de destination pour aller vers l’Alaric.
Départ matinal à destination de Moux, guidé par Marc scrutant le ciel et les applications météo, nous arrivons au parking vers 9h. Traditionnel petit-déjeuner d’avant ride pris, nous voilà en route pour le signal.
Le ciel est bouché, le sol est humide, quelques gouttes d’eau tombent encore mais aidé par un fort vent, le ciel devant nous semble s’éclaircir.
Arrivés au sommet, nous sommes partis pour la première descente du jour qui sera l’os du jambon. Séchés par le vent, les cailloux sont secs des pluies tombées la veille mais cela se complique un peu sur les parties terreuses.
Abrité par la végétation, le sol reste bien humide sur la partie basse de la spéciale. Histoire de confirmer mes propos, j’effectue même une petite roulade à la sortie du dernier virage. Et une de plus...
Sourire sur le visage et après un petit débrief, nous voilà repartis dans le sens positif de la pente pour regagner le signal. Ce coup-ci, ça sera une Fisherman.
Arrivés en haut et après une pause boisson/alimentation, PJ me régale au moment du départ avec une chute à l’arrêt, emporté par le vent qui souffle fort au sommet. Cette chute valait de l’or, à en faire jalouser Simone Biles.
Bizarrement, le vent n’a pas le même effet sur mon vélo et moi-même. Etrange…
Nous enchainons donc la Fisherman et le roc gris pour retourner sur la partie basse de l’Alaric. Ça sèche vite mais ce n’est pas encore ça.
On attaque cette troisième montée et finissons par faire une pause aux alentours de 13h afin de s’alimenter un peu. Nous échangeons sur la suite du programme. Ça sera la descente du GR pour cette troisième spéciale.
Parcours sans encombre pour nous 4, Marc passant même la grosse marche au milieu du parcours. Bravo à toi Mr. Le Président.
Les discussions vont bon train lors de la montée pour cette quatrième descente. PJ serait plus pour la combe du gravier, et moi plutôt l’envie de refaire l’os du jambon.
Du coup on divise l’équipe en deux, PJ & Marc pour la combe, Michel & moi-même pour l’os du jambon enchainé avec la secrète.
Pour notre cas, le vent et le soleil ont bien séché le sol. Ça n’a plus rien à voir avec la première descente du jour. Et ça passe sans accroc, enfin.
Retour à la voiture où PJ et Marc nous attendent déjà.
Nous sommes sur la route du retour mais avant tout, nous sommes à la recherche d’un bar afin de terminer cette journée accompagnée d’une bière. Ce sera chose faite à Trèbes.
Merci pour cette belle journée de vélo.
Ben
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Navettes Val Louron 11/08/2024
- Par marc31600
- Le 12/08/2024
- Dans Rides 2024
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Après une première semaine de vacances (YEEESSSS !!!!) à Gourette où j’ai pu tester le nouveau bike park sur une journée (bel effort d’aménagement mais dénivelé trop faible et ça manque de sauts… Faudrait qu’ils aménagent le bike park aussi sur la partie haute de la station et qu’il reclasse le niveau de difficulté des pistes en enlevant un voire deux crans), me voilà de retour à Muret et dispo pour une sortie biclous. Et c’est Ben qui propose une sortie navette à Val Louron. Michel valide aussi et nous voilà partis en ce dimanche 11 août dans le camion de Michel dont l’aménagement mérite facilement une médaille d’or (en référence à l’actualité olympienne).
Arrivée sur site très à l’heure, il fait beau et ça s’annonce bien. La navette arrive pile à l’heure à 10h00, ce qui est malgré tout déjà trop tard puisqu’il faut le temps de charger et que nos ibériques compagnons de navette du jour s’organisent avec le chauffeur (on sera 9 pour 8 places…). Qu’importe, nous rattraperons ça sur la descente. Ben tiens que dalle ! Dès le début de la montée, nous comprenons que tout ne va pas se passer comme prévu. La navette semble être équipée d’un moteur de Solex et impossible de passer la seconde… Nous ferons toute la montée en première, peinant même parfois à doubler un cycliste… et nous demandant s’il ne fallait pas descendre pour pousser dans les portions les plus raides. Le chauffeur nous avoue effectivement qu’il y a comme un petit problème. Résultat, nous arrivons au col d’Azet à 10h45… Le temps d’aller chercher NABIAS et de descendre, c’est compliqué pour avoir la navette de 11h00… D’autant que je m’aperçois que mon manque de pratique récente de VTT en terrain engagé n’aura pas été sans conséquences… Je ne sais plus faire de vélo et j’arrive en bas avec les mains et les bras complètement fumés.
Conclusion, on arrive au point de rdv de la navette à 11h30. Nous apprendrons pus tard que le chauffeur a attendu jusqu’à 11h25… Et il faudra attendre 12h15 avant de revoir la navette mais avec quand même une bonne nouvelle, elle a été remplacée par une avec un vrai moteur.
La montée est du coup beaucoup plus rapide et nous prenons l’option d’aller chercher COURTALETS au-dessus de la station de Val Louron sauf qu’il fait chaud et que l’inversion de la pente et le timing pour ne pas rater la navette de 14h00 va nous faire changer de plan et nous nous arrêtons au niveau de LAPADE pour manger et passons par les passerelles pour redescendre sur TOURTERE. Mon niveau ne s’améliore pas mais nous arrivons large pour la navette qui nous attend déjà.
Le début d’après midi aura eu raison d’une partie de nos collègues de navettes du jour et seuls deux Ibères remontent avec nous à 14h00. Direction KERN, alors que nos voisins de frontière optent pour TOURTERE. Ça va un peu mieux, je commence à reprendre mes marques. Arrivée en bas nous nous concertons un peu avec les espagnols et décidons de partir sur DOLMENS. Eux connaissent et offrent de nous ouvrir la descente. Le temps se couvre et cela nous permet de faire la montée depuis le col d’AZET avec une température tout à fait acceptable. Voilà enfin la DOLMENS dont j’entends parler depuis un moment : heureusement ça va mieux pour moi que le matin. Je pars très prudemment sur le début qui ne présente pas de difficultés et prend confiance pour la suite. C ’est vrai que c’est tendu, mais tout passe et c’est une très belle trace. Michel passe partout et Ben suit l’exemple en franchissant la plupart des passages techniques sur le vélo.
La navette nous a attendu et nous pouvons remonter vers 16h30, alors que quelques gouttes commencent à tomber. Direction une nouvelle KERN avec un bon rythme. Ça va, ca revient.
Mais le risque de pluie et ma fatigue prématurée me font renoncer à une dernière descente. Pareil pour Ben, et nous laissons donc les espagnols remonter seuls (l’Ibère est rude).
Pour nous direction le bar où nous installons pour une bonne bière sous les parasols juste à temps avant que la pluie ne se mette se mette à tomber.
Bonne journée finalement malgré les ennuis du matin mais il va falloir se remettre sérieusement à rouler !!!
Merci à Ben et Michel, ce fut un plaisir comme à chaque fois et merci à nos collègues espagnols du jour qui ont été très sympas.
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Ariegenduro Traucranduro 26/05/2024
- Par marc31600
- Le 29/05/2024
- Dans Rides 2024
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Depart 6h30, pendant que certains continuent à fêter la victoire du stade... Au départ, Marc, Julien, Jérôme, Guillaume et moi (Gab). On retrouve Baptiste, on récupère les dossards. Fab participait aussi mais était partit plus tôt (et oui, c’est possible plus tôt). C’est parti pour 900 m de déniv, ça pique.. Je suis bien content d'être en vtt elec !! Hehe
600 m: ravito, on reprend des forces on mange un petit peu et c'est repartit.700 m : on arrive à un beau panorama, on voit Tarascon et toute la vallée, c'est bien stylé. On continue à monter pendant 200 m, on arrive à l'antenne, on s'équipe et là c'est partit pour le kiff. On attaque toboggan, gros virage relevé, bon jump, la régalade. De la pente bien raide pour finir.
C’est repartit pour la deuxième remontée, 500 m on repasse devant le Ravito. On croise Fab qui descend comme un fou tête dans le guidon ça fait plaisir à voir. Nous on continue de manger cet excellent petit fromage et on est reparti. On remonte la même route, on arrive à l'antenne on s’équipe et on s’attaque à la descente sapin. Un peu moins joueuse que la premiere mais bien cool aussi. On arrive aux virages en S qui m'ont fumé pour ma part.
Départ de crampes, là j'accuse le coup , je me dis que j'ai une condition physique d'une mamie octogénaire. Les copains , c'est pas pareil, ça envoie du pâté et ça fait plaisir. On continue à descendre. Quand on arrive a Montoulieu, Jérôme, Marc et Julien repartent en haut, nous on va se boire la petite bière, avec Baptiste et Guillaume. C’est pour toi qu’on a fait tout ça ma petite !! Avec Guillaume, on est fumé, Baptiste a l’air en canne..Bilan de la journée : On check les résultats, Baptiste et Jérôme, grosses machines, Classe 7 et 8 (si je me souviens bien?) sur Strava. Félicitations à eux. Surtout que ça deconne pas non plus à la montée.
Pour ma part, des jambes en carton, descente très aproximative, un Vtt qui freine pas mais, avant tout l’envie de m'y remettre à fond et ça fait plaisir de voir des copains qui envoient la sauce et qui donnent vraiment envie d’y aller.
Par Gabriel.
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Randur-off Forêt de Montaud 12/05/2024
- Par marc31600
- Le 13/05/2024
- Dans Rides 2024
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Pour ce week-end de l’Ascension et à l’appel du club des BMR, Marc et moi-même répondons présents pour participer à la randuro VTT organisée dans la forêt de Montaud.
La première difficulté de la journée sera le levé très matinal. En effet, le rendez-vous au départ de la randonnée situé après le village d’Aupillac est prévu entre 7h et 7h30... Ça va piquer.
Traditionnel café suivi du briefing sur l’organisation du déroulé de la matinée. Car oui pour une fois nous partons à la matinée et pas à la journée.
Au programme, deux parcours:
- 30kms - 1360m de D+/-
- 37kms - 1700m de D+/-
Nous attaquons notre première montée en direction de la SP1 de la Resse, en compagnie de 2 VETTistes pratiquant assidus du bike park... pardon, de la forêt d’Eaunes.
Le rythme E-bike, trop soutenu pour moi, je décroche du groupe rapidement.
La descente se fera en sous-bois sur de la tourbe bien sèche mais avec quelques traces d’humidité dans la partie basse. Le flow est présent, nous voilà dans l’ambiance.
Au pied de la centrale électrique, la plus grosse liaison de la journée est devant nous. 9kms avec 500 D+ entre chemin raide et DFCI. Après quelques kilomètres, nous rejoignons un membre des BMR posté sur la DFCI.
La question sera simple “Vous êtes sur la grande boucle ou la petite?”. Un petit échange du regard avec Marc, notre réponse sera la grande boucle. Alors ce sera direction à droite pour continuer la grimpette.
Arrivés à la SP2, nous attaquons la descente des Siouses pour couper la DFCI au niveau de la cabane de Laurent avant de replonger en contre-bas. La fin de la spéciale sera commune à la SP1 pour arriver à la centrale électrique. Les spéciales sont dans un état irréprochable.
Petit arrêt au ravitaillement afin de recharger les batteries et nourrir les hommes. Le ravito sera accessible à la fin de la SP1 et SP2. Bien utile dans mon cas où l’eau commençait à manquer.
Nous ne sommes pas en avance alors on ne s’attarde pas trop. Nous devons remonter au niveau du départ de la SP1 pour enchaîner La SP3, La Locale sur sa partie supérieure.
Petite erreur d’orientation à la fin de la SP3, nous sommes hors trace. Petit poussage sur quelques mètres afin de regagner la DFCI et attaquer notre dernière montée du jour et la SP4, spéciale ouverte pour l'occasion. Cette spéciale est donc non officielle car empruntant des parties privées.
Le début sera une succession de bosses et de relances, de quoi bien consommer le peu d’énergie restant au compteur. Le reste sera plus dans la pente avec des zones plus techniques que les 3 étapes précédentes.
Les 4 spéciales seront de très bonne qualité mais une mention très bien aux SP3 & 4.
Nous voilà de retour à notre point de départ, accueillis par les odeurs du barbecue et des saucisses sur la grille. A peine le vélo posé, nous voilà un sandwich et une bière à la main. Que demander de plus !
Un grand merci aux membres du BMR pour cette Randuro et pour l’entretien de ces singles tout au long de l’année.
Par Ben.
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Alaric 28/04/2024
- Par marc31600
- Le 28/04/2024
- Dans Rides 2024
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Vu mon niveau de frustration suite à mon incapacité à rouler à Citou le WE dernier avec mes petits camarades, j’avais la ferme intention de faire une bonne sortie extérieure ce WE.
Pas beaucoup de candidats chez les Biclous pourtant, à croire que certains tentent d’accumuler les points nécessaires à de futures négociations… Mais le saurons-nous un jour ?
Heureusement et comme on le dit souvent, la qualité compense la quantité, ce qui peut se dire de toutes les configurations possibles chez les Biclous vu que tous les membres sont évidemment de grande qualité.
Représentants du jour de la qualité biclousienne : Ben dont les innombrables qualités sont légendaires, Baptiste qui devra faire étalage de ses grandes qualités sur une simple demi-journée et en concentrant donc tous ses efforts sur un laps de temps réduit et bibi qui abuse honteusement de sa position de président comme seule preuve de sa qualité.
Baptiste étant déjà presque sur place, nous le retrouverons… sur place donc, et je passe prendre Ben chez lui direction ALARIC.
Notre espion local nous ayant confirmé que la météo de la veille n’avait vu de la pluie qu’en matinée et qu’il n’en était pas prévu avant ce soir, nous partons confiants. Enfin la confiance niveau météo chez les Biclous, c’est un truc dont on parle beaucoup mais que personne n’a jamais vu…
Bref, arrivée simultanée sur site avec Baptiste (les légendaires ponctualité et synchronisation des Biclous, d’autres qualités). C’est très nuageux, il y a un peu de vent. On s’équipe, on a froid, on part couvert…
Première montée au signal. Quelques gouttes de pluie se font rapidement sentir et elles ne nous quitteront pas une bonne partie de la matinée. Cette première ascension nous amène au départ de l’Os du Jambon. Quel bonheur ! Non seulement les gouttes de pluie n’ont pas eu de conséquence sur le grip mais l’intégralité de la trace a été nettoyée et même shapée par endroit sur la deuxième partie. Le flow est énorme : très gros smile à l’arrivée.
Deuxième remontée au Signal, pour aller chercher cette fois-ci le GR. Contraste saisissant niveau terrain, c’est beaucoup plus humide et les cailloux sont glissants, c’est bien piégeux. La faute aux précipitations de la veille au matin ? Une pluie pendant la nuit ? Bon c’est sympa quand même mais je roule sur des œufs.
Troisième montée au Signal, pour aller chercher la Fischerman (mais d’où vient donc ce nom ???). Pas de souci d’humidité sur cette trace sauf le dévers de la dernière épingle mais c’est sur l’épingle précédente que je vais m’en mettre une belle. J’évite bien une souche un peu haute avec la roue avant mais j’oublie que j’ai une pédale gauche… Après réflexion, je me soupçonne d’avoir voulu procéder à la reconstitution de ma chute d’il y a 15 jours à Eaunes pour la même raison en la rejouant au ralenti. Raté car cette fois-ci, après être passé par-dessus le vélo, celui-ci va repasser au -dessus de moi pour aller se percher à l‘envers dans un arbre en contre bas. Pendant ce temps-là, j’en profite pour illustrer une expression tout droit sortie des magazines de BMX de mon adolescence en allant embrasser la France. Merci les protections, même si je me demande encore comment j’ai réussi à me retrouver avec de la terre dans la bouche et le nez avec un casque intégral…
Nous enchainons sur le Roc Gris pour raccompagner Baptiste à sa voiture car il doit déjà nous quitter. Toujours aussi sympa mais la chute précédente me pénalise et un peu de fébrilité ne me permet pas d’en profiter autant que j’aurais voulu.
Baptiste nous quitte donc, faute de suffisamment de points sans doute… Ben et moi versons une larme, mais nous nous ressaisissons bien vite puisque nous avons encore du pain sur la planche de charcuterie. En effet, nous voilà repartis pour une remontée complète au Signal en vue d’un deuxième Os du Jambon. Comment dire… c’est encore meilleur que la première fois (ça marche pour d’autres trucs aussi…), cette trace a été préparée aux petits oignons et c’est un pur régal de flow.
Dernière remontée partielle pour aller chercher la combe du gravier. Tout le début a aussi été nettoyé mais, comme pour le GR, c’est plus humide, et la caillasse n’inspire pas confiance. Le nettoyage s’arrête au niveau de l’embranchement avec la variante (peut-être continue-t-il sur la variante ?). Nous continuons sur la combe et sur le bas c’est sec. J’en profite pour perdre l’avant sur une couche de gravier malicieusement disposée sur un rocher et pour exécuter ma deuxième chute, cependant beaucoup moins spectaculaire que la première. Cette combe reste toutefois une valeur sûre de l’Alaric.
Voilà c’est fini, direction la voiture et la bière. 52 km et 1740 m de D+ d’après Strava et encore une excellente sortie en excellente compagnie. Merci Ben et Baptise. Et merci aux shapeurs de l’Alaric.
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Labruguière 24/03/2024
- Par marc31600
- Le 28/03/2024
- Dans Rides 2024
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Après deux sorties consécutives très agréables du côté de Citou, nous revoilà à la recherche d’un spot de ride pour ce week-end. Et pour faire du tort à cette bonne vieille expression du jamais deux sans trois, cette fois-ci nous n’irons pas à Citou mais à Labruguière.
Et ça ne sera pas une voiture mais bien 2 véhicules au rendez-vous pour cette sortie dominicale.
La première voiture au départ de Toulouse sera composée de Marc, Fabrice, Jérôme, Julien et moi-même. Quant à la deuxième, Baptiste va nous rejoindre directement sur place pour rouler avec nous une partie de la journée.
Contrairement au week-end précédent, nous ne serons pas accompagnés ce matin par un beau soleil. Aujourd’hui, ça sera grisaille party, voir même plus…
Sur la route, le doute s’installe, des gouttes apparaissent sur le pare-brise. Labruguière + pluie + racines = on a peur.
Prenons notre courage à deux mains, nous poursuivons la route jusqu’à la cabane des chasseurs sur les hauteurs de Caunan, notre point de départ.
Comme à l’accoutumée, après avoir enfilé nos plus beaux habits pour cette journée de vélo, nous ne pouvons pas partir sans le café et le Savane. Merci à Fab pour ce petit dej’.
Nous attaquons notre première montée à 5. Baptiste étant garé sur l’autre versant, il va nous rejoindre dans la montée après avoir effectué sa première descente en solo. Nous finirons bien cette première montée à 6. Le débrief de la première de Baptiste est « c’est humide ».
Nous attaquons notre première descente. Et comme prévu, la pluie de la veille a rendu les racines bien glissantes. Ça ne sera pas le flow du week-end passé mais il faudra faire avec. Au menu, beaucoup de racines et de cailloux.
Nous allons enchaîner 4 descentes dans la matinée avant de quitter Baptiste et rejoindre la voiture pour notre pause déjeuner.
On est trempé et il fait froid, la pause sera vite expédiée pour reprendre la direction du sommet de la forêt de Labruguière.
Le soleil tente quelques apparitions et seul le vent faisant craquer les arbres casse le silence de ma montée. Les 4 autres cyclistes du jour étant déjà bien loin.
Les descentes et montées s’enchaînent avant de sympathiser avec 2 autres riders rencontrés à l’arrivée d’une des spéciales. Ils viendront compléter le groupe pour la prochaine montée. Malheureusement, ils seront équipés de VTTAE et pour ma part, mon vélo à assistance musculaire commence à manquer de batterie.
Ils nous feront découvrir une super piste, fraîchement ouverte avec une belle série de whoops. C’était de la régalade.
La journée va s’arrêter là pour Marc et moi. Pendant que les 3 machines continuent leur chemin, nous allons redescendre la voiture au village de Caunan.
Au menu de la journée : 42km et 1700D+ pour Marc et bibi et 48km et 2000D+ pour Fabrice, Julien et Jérôme
• Le goulet
• Les souches
• Tertre de co David
• Les siouzes depuis co David
• La Montaud
• Variante goulet + début de la locale
• Le haut de la locale + resse
Par Benjamin.