Articles de vtt-muret
-
Rando Aux Coeur Des Corbières 18-11-2012
- Par Laurent Galinier
- Le 20/11/2012
- Dans Rides 2012
- 0 commentaire
De gauche à droite: Sylvain, Kévin et Michel
Lorsque j'ai entendu parlé de Corbiéres et de Vtt je me suis dit immédiatement comme Paul McCartney "sont des mots qui vont très bien ensemble, très bien ensemble". C'est donc sans hésitation aucune que je décidais de participer à la premiére rando de "Cascastel les corbiéres". La météo semblait incertaine mais semadi soir la rando était confirmée par les organisateurs eux mêmes alors tous les voyants étaient au vert pour aller passer une putain de bonne journée à vélo comme on les aimes. 05h45 Kevin est pile au rendez vous, même pas 5 minutes de retard. Certain d'entres vous doivent se dire mais qu'est ce qui les poussent à faire ça alors qu'ils pourraient rester peinard dans la tiédeur de leurs lits. Pour ma part c'est cette quéte un peu incensée, cette recherche de la maîtrise de son vélo, le moment fugace ou tu as l'impression de ne faire plus qu'un avec lui, le vélo n'est plus un objet il devient une partie de toi même, le prolongement de ta volonté et à cet instant tu ne roules plus, tu flottes, du survoles,la pesanteur ne t'affecte plus tu ne crains plus rien tu es enfin libre. Mais revenons sur notre bonne vieille terre donc départ à 05h45, on passe prendre mon collégue à Nailloux et on file vers les Corbieres le coeur léger. En chemin la pluie fait son apparition et devient de plus en plus conséquente à l'approche de notre destination. Sur place, l'ambiance et comme la météo morose. Finalement la rando est annulée, on voit donc quasi tout les Vetetistes présent faire demi tour. Quoiqu'il arrive nous avions decidé de rouler donc les organisateurs nous donnent un plan succint avec quelques info. Sur place un participant demande à se joindre à nous. il était sur un vélo de ville electrique on a eu comme un gros doute avant de comprendre que ce n'était pas son vélo mais un d'essai. C'est donc sous la pluie et dans le brune que nous partimes à quatre pour 30 kms sur le parcours schisteux (le 40 nous etant déconseillé car argileux). Au bout de 3 kms Kevin perd une pédale, attention pas simplement dévissée mais il ne restait en fait que l'axe. La tentative de réparation s'avére être un échec. Kevin repart au point de départ, nous continuons sans lui. Arrivé à un col le marquage n'etant pas clair on s'engage sur un chemin très raide qui tire direct dans la pente. Arrivé en haut suite à un portage un peu pénible Kevin m'informe par SMS qu'il a fait réparer et qu'il arrive. Ni une ni deux on redescent vers le col l'attendre et là la descente sera un véritable piége. Je pars en premier assez confiant mais la surface etant trés caillouteuse et humide je n'arrive pas à me ralentir suffisamment et j'enquille la descente à une vitesse qui dépasse le raisonnable, je ne pense alors plus qu'a une seule chose: tenir le guidon le plus fermement possible et attendre que le pente faiblisse pour pouvoir enfin ralentir, c'était chaud brullant mais je suis passé. Arrivé en bas personne dérriére. j'attends, la brume m'empêchant de voir quoique ce soit. Le second arrive un peu éccorché, il a pris un pelle mais ça va. Le troisiéme se pointe alors,il a chuté sans gravité mais sa roue a pris 3 bon cms de voile et touche la fourche. Ce n'est qu'au prix de 20 mn de bataille que l'on arrivera à faire tourner la roue entre les fourreau mais elle est morte. Pas demotivé il décide cependant de continuer. On repart donc tous le 4 un peu secoué mais en bonne forme. La suite de la randonnée se fera sans réel probléme, on a quand même réussi à se perdre, car le balissage était plutôt light et on fera 40 kms pour les 30 annoncé. Sur le parcours choisit pas mal de chemins larges peu de singles. Il est difficile d'émettre un avis définitif dans ces conditions pparticuliére mais il nous semble que le parcours est largement améliorable vu le relief. Retour à l'arrivée et là je dois avouer que nous avons été reçu comme des rois par les organisateurs et les marcheurs encore sur place. On a eu droit a une salve d'applaudissement nourrie, on nous a servi un repas copieux (pour 3€) et plusieurs personnes sont venues prendre notre avis. C'est la premiere fois que nous sommes aussi bien acceuilli lors d'une rando c'est à souligner, La bas les gens sont vraiment a fond pour lancer l'activite VTT, à retenir pour l'année prochaine ou la rando devrait se faire en mai.
Sylvain
-
Sortie Muret 10-11 novembre 2012
- Par Laurent Galinier
- Le 13/11/2012
- Dans Rides 2012
- 1 commentaire
David et les feuilles mortes.
C'est avec un courage certains et très peu de Biclous que finalement j'ai fait une sortie VTT avec Kevin dimanche aprem. Tout a commencé samedi matin, Sylvain et Kevin venir me cherché a 8h30 pour rejoindre mon pote Michel au Fousseret. Cette sortie route fut très agréable puisque le temps fut doux et que le ciel avait décidé de poussé les nuages loin de nos têtes. Nous n'avons pas été très performant et nous n'avons pas beaucoup poussé nos machines mais cela ne nous a pas empêché de passé un bon moment. Distance 61.6 km, 749 D+, temps 2h59. En rentrant de cette sortie, le temps avait été tellement agréable que nous nous sommes dit que la sortie de VTT prévu le dimanche dans la foret d'Eaunes allait être un régale. Dommage, la météo tenu ces promesse et le ciel pissa de samedi après-midi jusqu'à dimanche 13hr environ. Entre temps quelques uns lâchèrent l'affaire sur notre forum et par téléphone découragé de la colère de Zeus ;) Après un échange téléphonique avec Kevin, nous décidons finalement de nous équipés et de rejoindre Eaunes en Voiture. Nous partîmes a 15hr et avons joué en foret pendant environ 2hr. Il y avait quelques flaques, un sol tantôt collant, tantôt glissant mais a aucun moment de gros paquet de boue ne nous empêchée de roulé. Il était bien sur impossible d'envoyé comme a notre habitude, les roues ne voulant pas resté sur les trajectoires, il aurait fallu que nous montions des crampons plus long ça aurait peut être aidé. Distance 18 km, temps 1h48.
David
-
Le Vert Luisant 3-11-2012
- Par Laurent Galinier
- Le 07/11/2012
- Dans Rides 2012
- 1 commentaire
De gauche à droite: Les Endurites Sauvages: Xavier, Eric, Julien, Philippe et Fifi.
Cette année VTT MURET avait présenté 3 équipes au départ du Vert Luisant, la célèbre course d’orientation nocturne par équipe à VTT. Les Enduristes Sauvages partaient en premier à 19h22, puis c’était le tour des Biclous Sauvages à 19h26, puis enfin les Sauvages du Biclou. Habituellement il fait toujours un temps de chien pour cette rando, mais là il fait bien un peu frais mais il ne pleut pas et le terrain est assez sec. Cette rando est basée sur la bonne humeur et il y a un concours pour le meilleur déguisement. Il y a de tout. Ca passe des Daltons, aux travestis, aux internes en médecine, etc… et bon nombre de vampires ou autres zombies post Halloween. Les Enduristes Sauvages n’ont pas de déguisement, comme c’est fait. Les Biclous Sauvages sont déguisés en lapins crétins. Et les Sauvages du Biclou en je ne sais pas trop quoi, mais ça c’est sûr, ils sont déguisés. Il faut dire qu’ils sont arrivés d’extrême justesse moins d’une demi-heure avant le départ. A peine le temps de préparer le road book qu’ils doivent se pointer sur la ligne départ. L’organisation note aussi les participants sur leurs éclairages. Et la aussi il y en pour tous les gouts. J'ai surtout noté cette année que le niveau était beaucoup plus relevé. Des éclairages puissants comme des phares de voiture mais surtout des équipes parées ou plutôt affublées d'accessoires lumineux plus puissants et plus loufoques qui feraient passer un sapin de Noël des galeries Lafayette pour un pale épouvantail. Si, si c'est possible. Puis c’est enfin le départ. Au début ça va à peu prêt mais je commence à ne pas retrouver mes petits avec le road book. On croise l’équipe des Sauvages du Biclou. Ca ce n’est pas bon signe. Un grand nombre de gars sont un peu comme nous. Certains suivent les autres. Bref c’est la pagaye. Finalement je fini retrouver le bon chemin. On ne s’était pas compris sur la distance à parcourir sur une case. Après un bon moment on arrive au premier ravito qui sert aussi de point de contrôle. Les Enduristes Sauvages sont devant nous mais les Sauvages du Biclou ne sont pas encore passés. Juste le temps de picorer 2 trucs et on repart à fond. La fatigue aidant, je me replante sur le road book en me trompant carrément de colonne. GRRRR ! Arrive le deuxième ravito, les Enduristes Sauvages sont devant nous et de loin. Alors on s’arrache. On m’est tout à droite et gazzz. Enfin la descente sur le village de Lasserre. Vite ! On se signale à l’arrivée. Au final les Enduristes Sauvages ont fini à la 3ème place au général. Les Biclous Sauvages ont copieusement jardiné par endroit mais à leur décharge, la terre en avait bien besoin... Ils se retrouvent 5eme au classement du road book B mais 21eme au général. Les Sauvages du Biclou ont du jeter l'éponge, victime du syndrome d'Absalon. Mais ils feront mieux la prochaine fois. Il faut dire qu’il semble il y avoir eu un problème sur le road book B, beaucoup d équipe ont carrément bugées. L'ambiance sympa de cette rando est contagieuse, et tous les participants ont la banane. Les bénévoles sont prévenants et agréables. Il n'y a qu'une seule ombre dans ce tableau, le balisage complètement merdique... forcément il n’y en a pas. Mais on reviendra, ne serait ce que pour mettre la pile aux Enduristes Sauvages.
33km parcouru au lieu des 25km annoncés et en 2h58.
-
Sortie Labarthe sur Léze 28-10-2012
- Par Laurent Galinier
- Le 30/10/2012
- Dans Rides 2012
- 2 commentaires
De gauche à droite: Christophe, Sylvain, David, Jean-Pierre, Philippe, Franck et Bruno.
8h30 aux jets d'eau avec un petit 3°C affiché au thermométre. Plusieurs Biclous sont présents. il y a (je ne vous les présente plus maintenant) ,Le gendarme de Fréjus, Bretzel, Carbonne 14, VTT masqué , Psycho mécano plus un nouveau que je connais pas encore assez pour lui donner un surmon. Consigne est donné de partir cool ce qui sera le cas sur environ 500 m et ensuite nous filerons plein ballon vers Labarthe rejoindre les "Labarthais" du club soit "Bruneoublonde" (bois toutes les biéres sans distinction) et Rouletabille (spécialiste du roulement qui roule). Dans un petit fond d'air piquant le groupe s'élance vers les bords de l'Ariege plutôt praticable (peu de boue) puis vers les coteaux que nous sillonnerons en large et en travers suivant l'humeur de nos guides Labarthais. Le circuit est bouclé en revenant par les bords de l'Ariege. Le retour sur Muret face au vent nous laissera quelques douleurs au cuisses. Parcours de 54 kms pour 3h20 de roulage à un rythme soutenu. Sortie club assez classique mais bien sympathique et pour finir un petit poeme à la gloire de Labarthe:
Que tu sois maigre ou bien balaise
Que tu sois juste ou bien à l'aise
Que tu sois triste ou sans malaise
Viens donc rouler à Labarthe sur Léze
Le pays on l'on aime prendre ses aises.
Sylvain -
La Calvetout 21-10-2012
- Par Laurent Galinier
- Le 22/10/2012
- Dans Rides 2012
- 3 commentaires
L'année derniére "la Calvetout" n'avait laissée un très bon souvenir et il est vrai que sur le forum j'ai fait de la pub pour cette sortie. C'est donc pas moins de 6 biclous qui se présentérent pour participer. il y avait Philippe dit "carbonne 14", Christophe dit "Bretzel", Kevin dit "Aligotix", olivier dit "L'homme aux mains d'acier" Cyril dit "Corne de Rhino" et votre serviteur dit "Pyscho mécano". Je sais vous allez me dire 6 c'est pas tellement mais vu les conditions météo je reponds c'est énorme. Contrairement aux prévisions météos ce n'est pas sous une petite pluie mais sous un déluge que nous arriverons au lac de saint Ferreol vers 08h15. Nous avons vu un paquet de voiture faire demi tour. Sur place l'ambiance n'est pas à la fête. Nous décidons d'aller prendre un café le temps de réflechir. Aligotix nous garanti que la pluie va s'arrêter mais reprendra inmanquablement à 10h00 c'est son smart phone qui le dis. Effectivement il ne pleut plus donc nous décidons d'aller rouler sur le 20 kms histoire de n'être pas venu pour rien. A peine quitté la route la premiere descente se présente et là tout le monde y va décontrac, quelle erreur le chemin est une vrai patinoire de boue . Apres quelques frayeurs et zigzag des plus incontroleés le rythme ralenti sévere et passe en mode survie. Aprés avoir roulé quasiment dans des conditons séches jusqu'à présent le retour de la boue m'est difficile. Les premiers kilometres seront pénibles le temps de trouver le levier pour basculer le cerveau sur "terrain glissant". Au bout de 3 kms "Aligotix" est à l'arrêt en effet il est passé en fourche rigide tout carbone (pour des raisons plutôt obscures de rendement, efficacité enfin un truc que généralement on traite au boulot et pas pendant ses loisirs) et il a du oublier quelques chose au montage car la fouche n'est que peu solidaire du reste de vélo ce qui est plutôt dangereux. Finalement il nous abandonne et rentre par la route. Le reste de la troupe continue sur un terrain qui devient un peu moins hostile et même agréable par moment (sous bois, bord de riviére au canal). 10 h 00 arrive et la pluie annoncée n'est pas au rendez vous, tiens la providence enverait-elle un signe de bonne volonté. iI ne pleuvra dailleurs plus. C'est vers 11h00 que le petit parcours est bouclé, jai la patate et l'envie de rouler n'est pas totalement rassasiée. Seul "Bretzel" est dans les mêmes dispositions (normale cela nous rapelle les conditions de roulage de notre pays), nous décidons de poursuivre à deux sur le grand parcours qui présente le gros du denivellé mais dont la neture du terrain sera beaucoup plutôt facile (peu de boue et une bonne accroche en descente et montée). Sur le grand parcours nous rencontrerons trés peu de monde, au ravitaillement nous discutons avec un gars de 52 ans en single speed rigide qui fera dailleurs un bonne partie de la fin du parcours avec nous. Dans les montées il suivait sans vraiment de pb, impressionnant. Par rapport à l'année derniére la seconde partie du parcours sera un peu plus sage (pas de descente hyper raide) et s'est finalement presque surpris que le parcours prendra fin pour nous. Au bilan, une bonne journée pour moi, j'aurai pu faire encore facilement 20 bornes. Même si la météo a un peu contrarié le plaisir je reste sur une bonne impression concernant cette rando. I will be back.
"Pyscho mécano"
-
La Rando des Chataignes 13-10-2012
- Par Laurent Galinier
- Le 17/10/2012
- Dans Rides 2012
- 2 commentaires
Une rando le samedi... très agréable pour garder les pantoufles le dimanche! Et en plus à celle la je peut y aller en vélo ! Nous nous sommes retrouvés à cinq biclous pour un départ à notre convenance aux alentours de 13h30. Il y avait Fifi, Patrice, Fabrice, Philippe et moi même. Nous sommes parti de bon train pour la première partie de la boucle qui commencé par une bonne partie des sentiers technique de la forêt de Bouconne. Le groupe s'est étalé peu à peu lorsque tout à coup, à la sortie d'un virage, une grimpette tapissée de cyclistes en difficulté et dont mon CUBE connait le moindre caillou s'ouvre devant moi... Je n'ai pas put me retenir d'accélérer le rythme. Très vite me voila entrain de descendre la tour du télégraphe, quel bonheur d’avoir pour une fois d’autres Vététiste avec moi sur un tracé que je connais par cœur. Au bout d’un moment je me mets à tourner sur moi-même pour rassembler le groupe. Patrice a abdiqué. Nous repartons pour la lisière de la forêt, de Mondonville à Pujaudran. Chemin faisant, nous perdons Philippe. Quand le ravitaillement arrive, c’est Olivier qui pointe le bout de son nez. Nous sommes en réalité 6 biclous sur la rando. Peu après le croisement arrive, Olivier choisi le 55km quand à nous trois feignant que nous sommes, nous bifurquons sur le 32km. Le single joueur du font de la forêt est vite avalé. Petite déception, ils le rapproprient et par conséquence coupent certains virages et certains obstacles. Au moment de passer le dernier fossé, la notoriété rattrapent VTT Muret quand un monsieur s’écrie : « Tiens les Muretains ! » et son collègues qui rajoute : « Laisse passer les furieux !». Nous sommes arrivés à 15h30, les châtaignes étaient prêtes et le rouge aussi. Je ne regrette pas d’avoir mangé les châtaignes, mais à voir les photos, j’aurais bien fait le 55km.
Julien